Les séquelles laissées aux survivants par Lavergne seront peut-être plus moches que la mort elle-même, qui pourrait être une délivrance. Dans ce cas -là. L'emprise psychologique distillée par Kurtz, au fil des jours et des mois dans ces geôles, est aussi vicieuse qu'un poison lent. Un cancer de l'équilibre mental, un abcès au cerveau, une torpille au bonheur.