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Les Voies de l'ombre tome 2 sur 5
EAN : 9782253123347
601 pages
Le Livre de Poche (14/03/2008)
3.99/5   487 notes
Résumé :
Quand les victimes d'un monstre fascinant et obscène se lancent sur les traces du prédateur qui a dévasté leur vie, elles ignorent qu'elles n'auront pour seules issues que la fuite, la mort ou... les voies de l'ombre.

"J'ai de l'amour pour mes chiens d'attaque.
Certains, il a fallu les tabasser, d'autres pas. Il n'y a pas de règles. C'est ça l'extraordinaire chimie de la nature humaine. C'est passionnant.
Approche-toi ami voyeur. Et n'ai... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (66) Voir plus Ajouter une critique
3,99

sur 487 notes
Rufus Beaudenuit a quitté la police définitivement depuis l'affaire qui l'a opposé à Olivier Lavergne, allias le colonel Kurtz, ce dangereux psychopathe qui « dressait » ses victimes dans ses geôles sordides.

Eliah Daza a repris l'enquête, qui piétine, car Kurtz est introuvable.

Lorsque Thomas Davron, ancienne victime, lui rend visite et que quelques jours plus tard, Michèle Marieck, une autre d'entre elles, est déclarée en fuite après avoir avoué le meurtre d'un homme, il se demande si Lavergne ne serait pas en train de pointer le bout de son nez.

De son côté, Kurtz maitrise la situation. Il organise la suite des opérations, ses nouvelles identités, sa disparition définitive et les étapes suivantes, qui lui permettront de faire connaitre son oeuvre et ses motivations qu'il recueille dans un manuscrit intitulé "les voies de l'ombre".

Mais Kurtz a aussi été l'exécuteur d'un commanditaire qui se cache... et qui aujourd'hui semble vouloir se débarrasser de lui.

A mon avis :
Ceux qui ont lu le premier opus des voies de l'ombre (Prédation) savent ce qu'il est advenu de Rufus Beaudenuit, ou au moins savent dès le départ que tout ne roule pas comme sur des roulettes.

De fait, aborder Stigmate sans avoir lu Prédation ne permet pas de comprendre et d'appréhender correctement les personnages du livre. Il s'agit vraiment d'une suite et il me parait impossible de la lire de manière autonome.

Par conséquent, si vous n'avez pas lu le premier, il vous faudra l'acquérir avant d'attaquer celui-ci.

Stigmate est donc moins surprenant que son prédécesseur, puisqu'on a déjà connaissance de l'environnement général. Il est moins précis également, moins affuté car certaines situations sont parfois à la limite de l'improbabilité.

Le nombre de protagonistes également finit par devenir difficile à suivre. Entre ceux qui faisaient partie du précédent volume et les nouveaux qui s'installent dans celui-ci, on est parfois perdu.

Le fait qu'une suite soit prévue à cet ouvrage permet de démarrer des histoires dans l'histoire, dont on suppute qu'on en lira les conséquences plus tard, mais cela ajoute à la confusion de l'instant ou à la frustration de ne pas en savoir plus avant le prochain volume.

Bref, même si l'action est toujours présente, que les personnages sont bien campés et que l'histoire continue à partir dans tous les sens (comme dans Prédation) et à nous offrir des moments d'intensité, je ressors de cette lecture moins enthousiaste que pour le précédent.

Je crois que ça se confirme, je me lasse des histoires à suivre... Si ce n'est pas votre cas, alors vous y trouverez les mêmes ressorts que dans le premier tome avec peut-être, un peu plus de situations rocambolesques.


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Il n'était pas décent de laisser Rufus Baudenuit dans l'état où Jérome Camut et Nathalie Hug l'avaient laissé à la fin de prédation : séquestré dans une cave scellée par une plaque de béton, proie de choix pour le « pervers, misanthrope, paranoïaque, manipulateur, totalement égocentré et mégalomane » Kurtz, celui qui risque fort bien de hanter vos cauchemars, est ce n'est pas la lecture de Stigmate qui va calmer le jeu!

Tandis que Rufus se déshumanise peu à peu dans son bunker, humilié , torturé physiquement et psychiquement, ça s'agite en surface. Eliah Daza a repris le dossier, Thomas Davron et Andréas Dalbray trouvent des arrangements personnels avec leur conscience pour se reconstruire, tandis qu'une bande de tueurs à gage sévit et pourrait bien être aussi à la recherche de Kurtz.

Bien entendu, et malgré toutes les précautions d'Olivier Lavergne, alias Pierre André Second, alias Kurtz, un concours de circonstances va ramener Baudenuit à la surface (au propre comme au figuré), mais dans quel état? Et cette « libération » ne fait-elle pas partie du plan?


Autrement dit, pas question de s'ennuyer ne serait-ce que pendant un paragraphe, tant cet opus est mené tambour battant par des auteurs qui n'hésitent pas à décrire avec précision les scènes les plus sanglantes. Sans compter l'impression que l'on finit par avoir, que le diabolique personnage, ubiquitaire et protéiforme, est peut-être là, dans la rue en bas de chez vous.

Les chapitres d'action alterne avec des extraits du manuscrit qu'a pondu ce malade, dans lequel il proclame son génie et développe ses théories sur le dressage humain, tout en faisant part de ses projets futurs.

C'est du costaud, du brutal, il n'y a pas d'espace pour reprendre son souffle, c'est noir, noir, noir.




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"Les voies de l'ombre", tome 2, est bourré de qualités, passionnant de bout en bout, différent du premier tome et (à mon sens) meilleur.
La grande intelligence des 2 auteurs est de sortir des schémas habituels du polar (encore + à la lecture de celui-ci).
La lecture est déstabilisante, les acteurs principaux deviennent tour à tour secondaires et vice versa. Les auteurs malmènent leurs personnages comme rarement, écorchés vifs suite aux expériences vécues dans le premier livre.
Le tome est axé sur la psychologie des personnages, des victimes au monstre qui les manipule. La description de ce personnage est tout bonnement hallucinante, laissant parfois un gout âpre tant il est finement analysé psychologiquement.
On a l'impression de passer de la tête du psychopathe à celle des victimes, ce qui prouve la grande qualité de la narration.
Après 2 tomes, et 1 200 pages, toujours aucune longueur en vue.
Lien : http://gruznamur.wordpress.com
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Martin Delafosse et sa femme, Myriam, s'excitent de façon saugrenue dans les transports en commun. Pour autant presque pas d'érotisme dans cette histoire. Ces deux agents Serbes ne sont pas des enfants de coeur mais ils ont pour job d'arrêter Kurtz. Leur relation a été une source d'inspiration... Leur cible (Kurtz) est chauve, un peu gras, les yeux rieurs... Cela dit, il entreprend tout un Travail de changement physique à leur insu... Charles & Michèle Mariek sont ensembles... Enfin jusqu'à ce que Charles soit assassiné et ne laisse à Michèle qu'un désir de vengeance envers Kurtz et les siens...
Thomas Davron et Rufus Baudenuit veulent aussi la peau de Kurtz. On lui a fait porter le chapeau pour le meurtre de sa famille... En prison, son mal est moindre... Il veut aussi trouver notre psycho préféré. Les plus à plaindre sont peut-être Andréas et sa fille Clara, complétement lavés du cerveau...
On la connait la véritable identité de Kurtz (dès le début ! ). C'est Olivier Lavergne. L'attaque sur son entrepôt à permit de libérer bien des otages...
Michèle Mariek a tué un homme, elle l'assume pleinement. Michèle a tué l'assassin de Charles... Quant à Rufus et Serguei, les flics, ils veulent bien sûr mettre la main sur leur némésis... C'es alors que Rufus est kidnappé par celui-là même.
Dans ma première Lecture je n'avais pas fait très attention aux passages Du Livre "Les voies de l'ombre" et en effet ça ajoute pas grande chose au récit, si ce n'est les justifications et le code moral du tueur.;). Ce qui n'est pas rien non-plus, remarquez.
Andréas est hanté par Kurtz... Au détours de chaque figure qu'il croise. Pour qui, chacun de ses semblables n'est pourtant que du bétail ; ). ... Tandis que Daza est proche de l'arrêter!
L'ex captif est rongé par le mal... Il cogne sa fille Clara pour la première et dernière fois. Puis il demande à aller en Hôpital Psychiatrique, qui n'est vraiment pas la même chose, de 2008 et 2023 (Autrement plus invasif!)...
Cette histoire est bonne mais oui, elle est un poil trop long.
Tout ce petit monde, Martin, les flics, Daza et Serguei veulent la même chose.
Kurtz est vraiment haïs! Faut dire qu'il reste assez abominable...
Rufus, Michèle et Andréas se battent entre eux pour savoir qui tuera Kurtz.
Le dressage du psycho porter a-t-il ses fruits?!
Lien : https://linktr.ee/phoenixtcg
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Les voies de l'ombre.
Voilà ce que nous rappelle ce deuxième opus via le sous-titre de cette trilogie, après Prédation. Si ce premier opus était une enquête policière, cette suite s'attache plus à nous faire découvrir les voies qu'auront suivis chacun des personnages depuis que l'on avait tourné la dernière page du précédent roman de Nathalie Hug et Jérôme Camut. Comme si ce livre n'avait était qu'une sorte de shaker et que l'on découvrait désormais les cocktails détonants qui font désormais l'essence de ces personnages. Comme si nous n'avions eu qu'un aperçu des ingrédients affectés à chacun des personnages principaux tel que Rufus, Daza, Andréas, Kurtz, Michèle ou Thomas. Après il suffit de suivre la recette. Secouer bien fort. Remplir chaque verre. Déguster bien frais.

La surprise donc, de Stigmate, c'est les nouveaux parfums, ces nouveaux goûts, ces nouvelles saveurs à découvrir qui correspondent à des chemins de vie susceptibles d'être pris par chacun des acteurs du roman. Chaque destin peut être vu comme les différentes voies que pourra prendre individuellement chaque personnage. Des chemins de vie mais aussi, des chemins de mort. Amers ou doux, sucrés ou désespérément salés. Attendez-vous à passer du miel au vinaigre …

Le livre est donc composé de 108 chapitres à dévorer très vite !

Préface
Prologue
I. Tout le monde a le droit de disparaître
II. Ordre et désordre dans le chaos permanent du monde des hommes
III. le monde est bien trop petit pour s'y cacher longtemps.
Épilogue

Stigmate nous raconte le destin de quatre personnages à qui il est arrivé la même mésaventure et qui vont vivre quatre destins différents. Des accès devant lesquels chacun d'eux va se retrouver confronté, conduisant vers des veines de vie et de mort qu'ils vont être déterminés à suivre, à explorer, jusqu'au bout. Des êtres hantées par des démons, des tourments, déterminées à signer un pacte avec leurs propres démons. Quatre promesses, quatre souhaits. Avec au bout du compte, la rédemption ou la malédiction, le paradis ou l'enfer, le pardon ou la damnation. Des destins, des voies, des rayons qui nous dirigent vers les voies de l'ombre.

Des voies de l'ombre qui donnent aussi l'occasion aux auteurs de se prêter à un exercice de style via l'élaboration d'un livre dans le livre puisque les voies de l'ombre sont en fait le titre des mémoires d'Olivier Lavergne, que nous découvrons au gré des pages et qui nous prend à témoin. Voir le chapitre 95 où Kurtz s'en prend au lecteur :

« Comment nomme-t-on les chiens lancés aux basques du dresseur ? Des pantins. Comme vous êtes tous en ce moment à lire ces pages, des marionnettes entre les mains du manipulateur, des esprits entravés en appétit d'autonomie, de futures carcasses que l'on jettera au feu. »
Lecteur manipulé par Kurtz ou par Nathalie et Jérôme ? L'exercice de style devient vraiment intéressant quand un des personnages se retrouve en possession de ce manuscrit. Cela crée soudain une drôle d'interaction entre le lecteur, les auteurs et les personnages, puisqu'à ce moment là de l'histoire, il devient acteur de l'histoire, puisque lui aussi a lu ce manuscrit et devient donc témoins passifs de la folie de Lavergne.

SPOILERS ON


Stigmate nous met également face à un élément majeur de l'histoire de Prédation, dont les conséquences vont prendre forme dans ce deuxième opus. Comme je vous le disais plus haut, ce livre nous révèle les stigmates, les traces, les cicatrices de quatre personnes violées psychologiquement par un fou, dressées et enfermées contre leur grès. Et sur ces quatre personnes, l'une d'elle va faire l'objet d'une terrible lutte intérieur. Une lutte intestine et bien connue des psychologues qui mènent des thérapies sur d'anciens otages : le syndrome de Stockholm. Cette interaction qui va se créer entre le bourreau et sa victime, cette dépendance mutuelle qui va se nourrir de l'un et de l'autre, va complètement faire exploser le schéma habituel du genre d'histoire que nous sommes habitués à dévorer.

Quelques éléments glanés sur le wikipédia pour mieux comprendre :

Le syndrome de Stockholm désigne la propension des otages partageant longtemps la vie de leurs geôliers à adopter un peu ou tous les points de vue de ceux-ci.
Au départ et dans n'importe quelle rencontre au hasard, il y a "sympathie" (du grec littéralement "même souffrance") dans la reconnaissance mutuelle d'un "alter ego" (l'autre moi différent ou altéré) chez l'autre. Ensuite arrive la reconnaissance mutuelle d'une concordance profonde des personnalités dans l'interaction "complémentaire" en "creux et relief" des grandes différences. Il y a "antipathie" dans l'interaction symétrique en "miroir" de la rivalité dans de grandes similitudes, comme l'escalade de la course aux armements où un bouclier plus épais répond à une flèche plus puissante et comme la surenchère des vantardises ou à un exploit imaginaire répond un exploit au moins égal et tout aussi imaginaire.
Le sociologue Amitai Etzioni a étudié la "compliance" qui est une interaction complémentaire du couple autorité-obéissance, comme dans celui de domination-subordination et celui de pourvoyeur-bénéficiaire, etc.


C'est de ça dont il s'agit dans Stigmate. Et j'aime bien ce mot, compliance, qui mêle la complicité à la complaisance, la complémentarité et l'alliance, la confrontation et l'obédience, la soumission et l'allégeance. Comme si la frontière entre la sympathie et l'antipathie était tel qu'elle nous permettait d'atteindre cette ligne de démarcation qui sépare le bien du mal, le blanc du noir, la vie de la mort, l'espoir du désespoir, sans jamais quitter un côté, sans jamais en explorer complètement l'autre. Une altération qui nous fait face dans ce miroir, une rivalité qui grossit tel un cancer mais qui au finale peut se transformer en complémentarité.
Une antipathie qui va devenir empathie. Une rébellion qui va devenir obéissance. Une haine qui va devenir respect. Une incompréhension qui va devenir interrogation, puis acceptation. Une opposition qui va devenir interaction. L'ombre qui dépend de sa lumière. La lumière qui découvre ses zones d'ombres. À l'image des lumières et des ombres qui électrisent l'âme humaine. Comme le précise l'article plus haut, c'est assez surprenant de voir, de lire, de découvrir dans Stigmate les liens qui se créaient tel un lierre qui cherche à progresser, une racine du mal qui cherche à se sustenter.

SPOILERS OFF

Belle claque que la lecture de ce deuxième opus. Bien dérangeant comme il faut, et surtout, une histoire qui nous hante bien après sa lecture. Tant mieux pour nous qui errons sur les forums, nous allons pouvoir en parler pendant de longs moments…
Quoiqu'il arrive, que l'on aime Stigmate ou qu'on le déteste, il ne laissera certainement pas indifférent. Vous allez l'adorer. Ou le détester ! le livre va vous surprendre, vous étonner, vous choquer, vous trahir, vous malmener. Mais bon, fallait s'y attendre. Il me tarde déjà de lire la suite. Rares sont les auteurs qui ont le courage de maltraiter à ce point leurs héros et qui ne laissent pas de place au compromis, au consensuel ou au « happy-ending ». Il y avait Stephen King. Il y a eu depuis en France Jean-Christophe Grangé, puis Franck Thilliez. Il faudra désormais compter sur Nathalie Hug et Jérôme Camut.

Lien : http://www.4decouv.com/2010/..
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Citations et extraits (29) Voir plus Ajouter une citation
Malade, c'est le mot qui s'est imposé à lui lorsqu'il a refermé le manuscrit. Un malade total. Pervers, misanthrope, paranoïaque, manipulateur, totalement égocentré et mégalomane. Un fin cocktail de différentes maladies mentales qui, prises une par une, suffiraient à handicaper un cerveau.
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Malade, c'est le mot qui s'est imposé à lui lorsqu'il a refermé le manuscrit. Un malade total. Pervers, misanthrope, paranoïaque, manipulateur, totalement égocentré et mégalomane. Un fin cocktail de différentes pathologies mentales qui, prises une par une, suffirait à handicaper un cerveau.
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Les séquelles laissées aux survivants par Lavergne seront peut-être plus moches que la mort elle-même, qui pourrait être une délivrance. Dans ce cas -là. L'emprise psychologique distillée par Kurtz, au fil des jours et des mois dans ces geôles, est aussi vicieuse qu'un poison lent. Un cancer de l'équilibre mental, un abcès au cerveau, une torpille au bonheur.
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Un individu, en résumé une conscience qui ne peut être fragmentée, ne saura passer sa vie qu'en répliquant des schémas issus de son enfance ou, au contraire, en s'opposant à ces schémas. Mais dire non à une situation n'est pas plus un choix que dire oui.
Accepter ou refuser quelque chose ne revient pas à choisir. Cela signifie tout juste être en accord ou en désaccord avec son éducation, (...)
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Le monde est beaucoup plus fou qu'il n'y paraît.
Le monde est beaucoup plus dément que les déments qu'il enferme.
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