Jérôme Duhamel

Si je ne vous paye pas, c'est que je ne vous dois rien.

S'il vous plait rendez-moi vite le trop percé...

Ma déclaration n'est pas parvenu à temps parce que le tabac était fermé pour les timbres.

C'est au moins le quatrième tiers provisionnel que je vous paye cette année !

Pour ce que je dois encore, je ferai ce que je peux et je vous enverrais 10 francs par ici 10 francs par là...

Dans ma dernière lette qui faisait sept pages je vous expliquait le problème en deux mots...

J'écris plus de mille lettres par jour, alors comment voulez-vous que je me souvienne si je vous ai écrit ou non ?

Les contrôleurs du fixe m'ont déjà tout pris...

Vous au impôts, vous connaissez que les chiffres mais pas les sentiments distingués.

Je ne regarde jamais la télé, c'est à cause de ça que je ne savais pas qu'il était l'heure de payer mes impôts. Excusez donc le retard.

Vous en voulez toujours plus ! On vous donne le bras et vous voulez même la main !

Je n'ai pas eu le temps de vous payer les impôts car moi je n'ai pas que ça à faire !

Des impôts, j'en paye déjà assez avec mes amandes, si en plus il faut m'en prendre sur mon salaire, c'est plus possible !

Je ne sais pas de quoi vous parlez avec cet histoire de retard pour payer puisque je suis mensustrualisé...

Je vous aurais bien écrit plus tôt si je n'avais pas eu les deux pieds dans le plâtre...

Ma surdité dont je souffre depuis vingt ans m'empêche de répondre à vos lettres...

C'est en remplissant les papiers pour la sécurité sociale que mon mari s'est cassé la jambe...

Le facteur ne veut pas me verser votre liquide...

Avec vos nouveaux tarifs, vous avez réduit mes enfants de moitié...

J'ai beau retourner le problème dans tous les sens, je ne vois pas où est le problème.