Douze ans plus tard, dans son premier roman, -Les coups-, l'ouvrier Jean Meckert posera à son tour les questions lancées par Prévost: comment aimer quand on n'a pas appris les mots pour dire l'amour ? Comment exister sans singer le bourgeois ni tricher avec ses origines ? Les poings remplacent-ils la syntaxe, l'émotion, le verbe (....) ? (p. 87-88)