-[ ...] La machine ne remplacera jamais l'homme !
- C'est ce que pense l'homme, mais le problème c'est que la machine, elle, elle ne pense pas...
p. 99 (Éd. De Borée- Terre de Poche)
[...] je ne vois plus le monde de la même manière [...]. Regarde ces étoiles, elles ne m'ont jamais paru aussi immenses et lointaines et nous aussi ridicules et insignifiants ! J'ai l'impression de n'être que l'ombre d'un minuscule grain de sable dans le mécanisme géant de rouages infinis... Je crois que l'Homme se fait beaucoup d'illusions mais qu'il n'est pas grand-chose en fin de compte. Tout cela existait avant nous et continuera d'être après nous...
p. 379 (Éd. De Borée - Terre de Poche)
Ils appartenaient chacun à deux mondes différents et hermétiques, superposés, qui ne pourraient jamais se croiser. D'un côté la culture, le pouvoir et l'argent. De l'autre, le labeur, la misère et l'abnégation. Deux revers d'une même médaille mais deux univers inconciliables cependant...
(p. 56 - Éd. De Borée - Terre de Poche)
La vie d'une femme n'est pas celle que la société voudrait lui donner, à tort ou à raison, mais celle qu'elle se donne elle-même.
(p. 359 - Éd. De Borée-Terre de Poche)
Connaître le nom de l'assassin, c'est retrouver le voleur de la Larme du Ciel qui devait être l'une des principales attractions de l'exposition", pense le directeur de l'exposition qui n'ignore pas que ce diamant maudit, peut-être encore caché quelque part dans la ville, aurait entraîné aussi la mort du Téméraire aux portes de Nancy, il y a plus de cinq siècles...
Les années ont fait leur œuvre. Elles ont élagué sans pitié les êtres et les souvenirs à la hache, avec toute la violence qu'elles peuvent mettre à peaufiner l'œuvre du temps qui passe.
(p. 11 - Éd. De Borée - Terre de Poche)
La joie de pouvoir aller travailler... Un plaisir parfois, une fierté souvent... Un honneur de jadis...
(p. 40 - Éd. De Borée - Terre de Poche)