Soudain, mes pensées devenaient gigantesques dans ce minuscule logement, car personne n'était là pour les écouter et les domestiquer, personne pour me cajoler ou me soutenir, me tendre les bras pour un câlin. L'absence de Cynth devint physique. Avez-vous un corps s'il n'y a personne pour le toucher ? Oui sans doute mais parfois j'avais l'impression que non. Je n'étais qu'un esprit, qui flottait d'une pièce à l'autre.