Jill Kargman

Depuis que Julia Pearce a sauté le pas et quitté les vignes familiales de la Napa Valley pour s'installer à New York, sa vie est un rêve éveillé. Elle sait que la Grosse Pomme, bouillonnante d'opportunités, ne la décevra pas et qu'un jour elle pourra vivre de sa passion : la création de bijoux. En attendant, elle occupe un emploi de vendeuse au rayon bagues de fiançailles de la célèbre bijouterie Pelham à Manhattan.

Quand elle est repérée par Lell Pelham qui en fait son assistante personnelle, le rêve devient conte de fée. L'héritière charismatique, qui a décelé le potentiel de Julia, décide de l'introduire dans son cercle d'amis. Et voilà la jeune californienne évoluant au milieu des ‘'beautiful people'', ces new yorkais nantis qui font la pluie et le beau temps à Manhattan. A elle les robes de grand couturier, les soirées de gala, les week-ends dans les Hamptons ! Malheureusement, elle doit aussi affronter les médisances, les jalousies, la rivalité de ses nouvelles amies dont elle ignore les buts cachés. Et puis, comble de l'horreur, elle tombe amoureuse de Willoughby, le tout nouveau mari de sa patronne. Et ce sentiment semble réciproque ! de gros ennuis en perspective…



Au milieu des polars et des lectures plus exigeantes, un petit livre de chick lit, ça fait toujours du bien ! Ah ! S'immerger dans le monde plein de paillettes de la haute société new yorkaise, partager les dîners de gala, les séances d'essayage, les limousines avec chauffeur…

Les deux autrices, Carrie Karasyov et Jill Kargman, nous convient au banquet des héritiers de Manhattan, nés, il va sans dire, avec une cuillère en or massif dans la bouche. Pour nous introduire dans cette jungle où l'on veut voir et être vu, elles ont choisi une héroïne intelligente, moderne avec une petite dose de naïveté. Rien de nouveau donc, juste une oie blanche perdue au milieu des tigresses aux griffes acérées. On soigne sa ligne, son look, sa réputation. On médit, on complote et parfois on s'ennuie, sans l'avouer bien sûr. Alors quand une nouvelle tête apparaît, pourquoi ne pas décider d'en faire la coqueluche de la ville malgré ses origines modestes ? Manipulée par sa patronne et son amie Polly, la pauvre Julia croit en la sincérité de leur amitié alors qu'elles se prennent pour le professeur Higgins dégrossissant Eliza Doolittle. Petite caution culturelle que s'offrent les autrices, ajoutée aux références à peine déguisées à Raison et sentiments. Mais, n'est pas Jane Austen qui veut et l'on est plus proche d'un épisode de Gossip girls que d'un classique de la littérature anglaise. Sans parler des petites incohérences (ex. Julia envoie un client au rayon vase et lui demande quelques semaines plus tard si le bracelet a plu à sa mère), d'autant plus inexcusables qu'elles sont tout de mêmes deux à écrire.

Le livre qui n'a d'autre but que de divertir effectue parfaitement le travail. du bling bling, de grands sentiments, une héroïne pas trop cruche et un voyage à New York…de quoi s'évader un peu en cette époque maussade.

Voici une autre facette de la fausseté du monde, du chic et du choc, que du paraître pour se dire homme, un monde où on serait prêt à lécher le cul du diable pour y faire partie et surtout faire sensation, comme notre héroïne Melanie qui veut bien faire main basse sur son passé d'une simple hôtesse de l'air, sortie du néant et parachute comme ça dans ce monde parfait où un simple nom fait supporter tout genre de caprices, elle se donnera corps et âme pour se trouver une place de choix dans ce monde du chic et du choc mais avant tout il faut formater son esprit à une forte bassesse, se livrer à une course vers le paraître relavant de la pure frivolité où la personnalité est carrément noyé car on ne fait plus rien pour soi plutôt pour les autres...

En cette période estivale, j'avais besoin de lire quelque chose d'extrêmement léger. Aussi, en passant devant la médiathèque et en découvrant ce livre déposé sur une étagère comportant les livres à échanger, je n'ai pas hésité. Heureusement pour moi que ce livre a été emprunté et non pas acheté car j'avoue l'avoir trouvé asses pompant de décevant. Certes, la vie des grandes dames chics et avec un mari plein aux as ne doit pas être de tout repose mais croyez-moi, je suis bien loin de les envie car dans ce monde-là, tout est empreint de fausseté, de mépris, d'envie et de jalousie. Mélanie Korn, ancienne hôtesse de l'air, récemment mariée à Arthur, un millionnaire ayant réussi dans le monde des salons funéraires et derniers cercueils haut de gamme, est la première à en faire les frais. Considérée comme une débutante dans ce milieu, une arriviste, Joan et Wendy, les deux commères du quartier très huppé de ce quartier de New-York sont les premières à médire sur son compte. Quoi qu'elle fasse, c'est toujours trop ou pas assez...bref jamais comme il faut. Elles trouvent toujours quelque chose à redire et lorsque ce n'est pas la pauvre Mélanie qui en fait les frais, c'est une ou un autre. Bref, il faut croire qu'il doit y avoir des gens bien malheureux pour ne penser qu'à regarder les autres et à ne pas pouvoir s'empêcher de porter un jugement sur eux. Certes, vous me direz, c'est aussi le cas dans la vie de tous les jours mais cela est atteint des sommets dès que cela concerne des personnalités. Elles, n'ont pas le droit au moindre faux pas, faute de se voir humiliées par les journalistes (enfin paparazzi serait le terme plus appropriés). Dans cet ouvrage, le lecteur rencontre une multitude de personnages, toutes plus riches les unes que les autres et participant toutes à des action caritatives. Cela serait probablement tout à leur honneur si elles se battaient réellement pour les causes en question au lieu de ne penser qu'au prochain bal de charité et quelle robe elles vont bien pouvoir porter !



Une lecture distrayante, qui m'a fait passer un agréable moment mais sans plus. Pas de gros coup de coeur mais effectivement une lecture à découvrir sur la plage et qui permet au lecteur de se détendre un peu !

«Chic et choc à New York» de Carrie Karasyov et Jill Kargman

J’ai pas aimé du tout !



Un dégueulis de marques, de noms réputés, d’endroits luxueux, de snobisme crade. Une superficialité montée en exemple comme un art de vivre dans une société tellement vaine de richesses inutiles qu’elle devient répugnante au fil des pages.



Rien à dire sur l’écriture si ce n’est la grossièreté cachée et surtout celle débitée par certains personnages, grossièreté qui n’apporte rien aux propos suivis par les auteurs, grossièreté gratuite qui fait le pendant à la méchanceté perverse développée à l’extrême par les acteurs de cette farce plutôt ridicule. Si cela représente réellement la société privilégiée de Manhattan, j’ai pitié de ces femmes aux vies si ‘riches’ et si vides de sens.



Pour trouver un rien d’empathie avec les personnages, il faut attendre les trente dernières pages et un happy end pour certains. Pas suffisant pour rester dans ma bibliothèque, ce roman va directement rejoindre la boîte à livres la plus proche :-)

Entrez dans l'un des meilleurs livres de chick_lit ...

Avec Julia, vendeuse dans une prestigieuse joaillerie, vous pénétrerez dans le cercle très fermé des héritières new-yorkaises .



Julia est repérée par la fille Pelham , Lell (nommée directrice artistique de la boite de papa).

Lell, et ses copines superficielles et machiavéliques , ont décidé de lui faire gravir les échelons qui ménent à la jet-set. Et de soirées, en galas de charité , de week-end luxueux , en photos dans des tabloïds , Julia devient un personnage en vue, une it-girl, courtisée également par Will ... le très récent mari de Lell !

On ne s'ennuie pas une seconde dans cette comédie menée tambour battant:du rythme, des dialogues percutants,des personnages de chipies savoureuses, une héroïne sympa , sublime, et stylée (j'ai beaucoup pensé à Alexa Chung...) , un métier original (créatrice en joaillerie ), des références à Jane Austen (le personnage de Willougby , dans Raisons et sentiments ).

AHHHH ...La fin de ce roman est un pur clin d'oeil aux fans de la Grande Jane., avant toute cette mode des réécritures ,dont nous abreuvent les maisons d'éditions (,avec plus ou moins de succès) .

Mais qu'attend le cinéma pour adapter ce petit bijou.

( de chez Pelham, bien-sûr !).

Julia Pearce a gagné New York en espérant percer comme créatrice de bijoux branchése Pour réalisér son rêve, la jeune fille n'hésite pas à commencer au bas de l'échelle et se retrouve vendeuse de bagues de fiançailles chez Pelham, LA bijouterie de luxe de Manhattan.



Le jour du mariage de Lell Pelham, l'héritière de la prestigieuse maison, Julia est choisie pour convoyer le magnifique collier que la mariée doit porter durant la cérémonie. Remarquée favorablement par la famille Pelham, Julia se voit proposer le poste d'assistante de Lell qui, après son voyage de noces, deviendra directrice de la création.



Julia accepte, bien entendu et Lell commence à l'intégrer dans son cercle d'amies. Mais Julia n'a pas exactement le même que ces filles et, pour s'intégrer, elle doit changer...







J'ai passé un excellent moment en compagnie de ces tigresses! D'ailleurs, celles aux griffes les plus acérées étaient les plus amusantes de la bande.



Julia et Hope, les deux gentilles filles de la bande, m'ont semblé un peu trop gentilles, justement. Même si cela fait du bien de penser que Manhattan n'est pas peuplé que de créatures totalement superficielles et dénuées de scrupules, les deux filles les plus intéressantes du roman étaient sans conteste Lell et la "méchante" Polly.



Polly est tout ce qu'il y a de plus odieux: snob, mauvaise langue, menteuse, manipulatrice... Et j'en passe! Malgré cela, ses remarques mauvaises sont très souvent amusantes. Le fait qu'elle soit elle-même ridiculisée à la fin de l'histoire semble toutefois être un juste retour des choses et permet de s'amuser encore un peu plus.



Julia est l'héroïne parfaite: jolie, intelligente, simple, sympa, toujours de bonne humeur... à tel point qu'elle en devient parfois agaçante. Et puis, son intrigue amoureuse avec le nouveau mari de Lell semble tellement stéréotypée! Sans compter le couple de meilleurs amis homosexuels, sans lequel tout roman de chick-lit semblerait vide. Malgré ces quelques bémols, Les Tigresses de Park Avenue est un roman agréable. Son côté le plus positif c'est que, justement, les deux auteures ne se concentrent pas uniquement sur Julia. Chaque personnage a droit à son chapitre, à son intrigue (amoureuse ou autre) et l'on finit par vraiment pouvoir les distinguer les uns des autres.



Bien entendu, ce n'est pas de la grande littérature, mais si vous voulez passer un agréable moment de détente, foncez!

Petit livre de chick litt qui se lit rapidement même si certaines péripéties se devinent avant la lecture de celles-ci. Mais ce n'est pas l'histoire du siècle on suit ici Julia qui passe de vendeuse en bijouterie à créatrice de bijou elle se retrouve donc propulser dans une autre "sphère" à côtoyer des personnes plus riches qu'elle, avec de superbes appartement ect... Mais plus l'aventure évolue plus celle-ci va découvrir l'envers du décor.

Lecture divertissante et légère... J'aurais aimé un peu plus d'émotions quand même car là, je n'ai trouvé aucun personnage attachant. Et les fautes d'orthographe! 😨

SI l'histoire est classique, le roman est bien emmené et bien écrit (ou bien traduit ...). On se laisse prendre par l'histoire et on s'attache aux personnages principaux. Le personnage de Julia ressemble à la Marianne de raisons et sentiments, nom du séducteur compris ...

A mi -lecture, je me suis posée une question : quel est le personnage sympathique de ce roman? Ils sont tous épouvantables! Mélanie, qui passerait pour la gentille, est agaçante de maladresse avec ses manières de m'as-tu-vu et de nouvelle riche et les autres.... des horreurs.



Mais c'est mordant, cynique, drôle et ça ne donne absolument aucune envie d'appartenir à ce milieu cruel, superficiel et strictement sans intérêt...

ce livre nous plonge dans un monde plein d'hypocrisie, chez les riches de new york. Un livre avec plusieurs intrigues et plusieurs personnages. C'est un livre distrayant, mais aucun personnage n'est attachant, et l'histoire est sans surprise

Un vrai coup de coeur pour ce petit livre, tout léger... je suis tombée en quelques pages sous le charme de Julia, pauvre petit mouton devant la tigresse Lell...

On découvre petit à petit le monde sournois et bling bling des petites filles riches de Park Avenue, on apprend avec Julia les choses à faire et à ne pas faire... et même si la fin est cousue de fils blancs (j'aime cette expression en ce moment), j'ai aimé beaucoup beaucoup beaucoup ;o)

Pas une page sans qu'une marque de luxe ne soit citée, pas une page sans une nouvelle vacherie entre meilleures amies ;o)

Je vous le conseille vraiment si vous aimez tous ces livres de filles à ragots ;o) si vous cherchez la spiritualité, passez votre chemin ;o)


Lien : http://temoicka.canalblog.com

Hannah, fraîchement débarqué à New York doit trouver sa place dans le monde très select des riches maman de Manhattan. Pas facile pour elle qui est l'opposé des Momzillas en prada.



Ce livre était dans ma PAL depuis pas mal de temps. Lecture drôle et sans besoin de réfléchir. J'ai pris plaisir à le lire même si je n'en garderai pas un souvenir intarissable. En espérant que les mamans de Manhattan ne sont pas vraiment comme dans le roman

Aujourd'hui, je viens vous parler de Momzillas de Jill Kargman.



Cela faisait un moment qu'il était dans ma pal et comme je devais trouver un livre à la couverture verte pour le #hogwartschall de @laplumecritique (thème le choixpeau magique sous thème Serpentard) j'ai choisi celui-ci.



Résumé :

Cours de Yoga 1er âge, layette de créateur, crèche préparatoire aux grandes écoles : à New York, apprendre à grimper les échelons s'enseigne bien avant les premiers pas, car, c'est bien connu, tout se joue avant six ans ! Alors lorsqu'on est une mère digne de ce nom, on ne lésine pas sur la dépense pour mettre toutes les chances du côté de son nouveau-né, à peine le cordon coupé. C'est ce que découvre Hannah, jeune maman d'une adorable petite fille de deux ans, lorsqu'elle pose ses cartons en plein Manhattan... Elle qui était plutôt du genre à laisser sa fille manger des cookies au goûter va devoir s'adapter aux nouveaux objectifs d'éducation, fixés par son épouvantable belle-mère qui n'a qu'une seule idée en tête : voir l'indigne épouse de son fils chéri devenir enfin une super maman, une génitrice prête à tous les coups bas... une Momzilla ! Après la chick lit, découvrez la mom lit ! Quand les célibataires à la recherche de l'amour ont enfin trouvé l'homme idéal et fondé une famille, d'autres problèmes surgissent...



En lisant le résumé, je pensais retrouver un genre de roman à la Sophie Kinsella mais j'ai vraiment eu du mal à m'accrocher. Tellement de préjugés mais je crois que ce qui m'a achevé c'est cette phrase "raide morte ! Clamecée, crevée, adios ! s'étrangle-t-elle de rire. Crise cardiaque ! À cause de toute sa graisse !". Alors oui cela n'est qu'un livre mais bon personnellement je ne trouve tout de même pas cela très drôle 😅 Bref, j'ai abandonné. C'est très rare.



Quelle est votre dernière déception ?

Une pépite cachée pour les amoureux de chick lit. L'héroïne, Mélanie, est belle et douce. Petite "plouc", selon ses propres termes devenue hôtesse de l'air, la voilà riche le jour où elle épouse un gros beauf parvenu mais aussi gentil qu'elle. Les deux innocents amoureux tentent de "tenir leur rang" parmi les milliardaires de la Grosse Pomme. Mais tant de bonheur et de naïveté est insupportable pour les WASP aigris qui les entourent. Les harpies feront tout pour les faire payer.

Un livre aussi vite lu qu'oublié. Certainement une lecture 'passe-temps' entre deux autres livres

Un roman qui, comme beaucoup de livre chick-lit, se lit facilement! Rafraîchissant et sans prise de tête, ce livre tire toutes les ficelles du genre : une jeune femme qui voit sa vie chamboulée, quelques pestes prêtent à tout pour mettre un peu de piment dans leurs vies si monotones, un homme charmant mais sans réel intérêt, et surtout un homme, dans l'ombre, qui s'il attend pourrait bien voir le vent tourner... Pas de la grande littérature, mais après tout, un bon moment de détente!

Tordant, un livre pas compliqué, pour se changer les idées ! Cynique et décapant !

Roman chick lit entre Sex and the city et les Real housewives of Beverly Hills ou New York qui n'a pas d'autres ambitions que de nous divertir sur fond de "problèmes de riches": dans quelle association investir? Comment s'habiller? Comment s'exprimer? Qui fréquenter? Tant de questions existentielles pour l'héroïne, Mélanie Korn, ancienne hôtesse de l'air, issue d'un milieu modeste, qui a épousé un entrepreneur dans les pompes funèbres, Arthur Korn.

Bien qu'un peu agaçante au début, Mélanie m'est apparue de plus en plus sympathique au fil des pages. Elle tente tant bien que mal de se faire intégrer dans ce monde d'hypocrisie et où les apparences priment.

Un roman bien écrit qui rend sa lecture facile.

Les bourgeoises du temps moderne entre trahisons ,jalousie, ragots un monde sans pitié pour ceux qui ne tiennent pas les rangs .ce livre devient seulement intéressant a la fin c'est bien dommage car j'ai eu du mal a l'achever car il ne se pas pas grand choses entre le début et la fin heureusement tout s'arrange pour tenir les lecteurs en haleine pour découvrir enfin un peu de réalité dans la vrai vie sans artifices sans mariages arrangés sans amour sans mensonges ou la fortune avait tout le pouvoir du monde