AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet

4.5/5 (sur 4 notes)

Biographie :

Rasenberger Jim : Jim Rasenberger est un écrivain et journaliste d'investigation américain qui a notamment écrit pour le New York Times, Vanity Fair et le Smithsonian. Il a écrit plusieurs livres sur l'histoire politique et industrielle des Etats-Unis, comme High Steel, une histoire de l'Empire State Building.

Ajouter des informations
Bibliographie de Jim Rasenberger   (1)Voir plus

étiquettes

Citations et extraits (18) Voir plus Ajouter une citation
Wallace Carroll du New York Times, cita Dickens pour illustrer le paradoxe américain en janvier 1961 ; il écrivit : « C’était le meilleur des temps, c’était le pire des temps. »
Commenter  J’apprécie          330
John Kennedy a pris une raclée en public pour la première fois de sa vie. En quarante-trois ans, il avait combattu la maladie et même la mort, mais il ne connaissait pas le défaite, et Cuba en était une, maladroite et humiliante, ce qui la rendait encore pire, écrivit James Reston dans le New York Times.
Commenter  J’apprécie          280
Par certains aspects, l’administration Kennedy fut une période faste pour les journalistes américains. ... Kennedy, lui-même aspirant journaliste autrefois, invitait chez lui Ben Bradlee de Newsweek, Charles Bartlett du Chattanooga Times, l’éditorialiste Joe Alsop. Avec eux, il faisait de la voile, regardait des films et prenait des repas ; il les traitait en amis. C’était agréable et prestigieux, et cela donnait à tous les journalistes, intimes ou non du Président, une stature et de la fierté. Mais c’était aussi, bien sûr, néfaste au journalisme.
Commenter  J’apprécie          250
Chaque décision que prit Kennedy sur le débarquement de la baie des Cochons dans les mois précédents montrait un homme troublé en profondeur ... A chaque étape de la planification qui demandait son approbation, il avait reculé le plus possible le moment de décider, pour accepter ensuite à contrecœur, et en posant souvent des conditions qui réduisait l'impact du débarquement, comme pour défaire ce qu'il faisait et avoir à la fois le beurre et l'argent du beurre. Plus tard ... cette impulsion allait produire des résultats inévitables.
Commenter  J’apprécie          240
Le grand ennemi de la vérité, bien souvent, n’est pas le mensonge — délibéré, construit et malhonnête — mais le mythe — persistant, convainquant et irréaliste.

John F. Kennedy
Commenter  J’apprécie          250
Kennedy avait l’art d’être sympathique avec ceux qui pouvaient le critiquer, de les mettre en confiance, d’en faire des complices.
Commenter  J’apprécie          250
... l’édition du soir du Washington Evening Star rapportait l’apparition de Kennedy sur NBC la veille au soir [11 avril 1961 J-6]. L’article parlait d’un commentaire de Kennedy sur son style administratif. Il trouvait que les conseils des ministres étaient une perte de temps et préférait les joutes informelles entre ses conseillers, pour générer devant lui une « confrontation d’idées ».Le malheur était que Kennedy n’avait eu avec ses conseillers sur Cuba aucun débat d’idées.
Commenter  J’apprécie          232
Il semble que le Président [Kennedy] voulait que la CIA réussisse à trouver la manière d’envahir Cuba sans vraiment l’envahir : une invasion immaculée, dans laquelle le résultat — mille quatre cents hommes sur une plage avec chars et bazookas, camions et jeeps — était atteint on ne sait comment, sans tout ce qui va avec.
Commenter  J’apprécie          230
L’histoire retient la crise des missiles à Cuba comme le meilleur moment de Kennedy, à juste titre. Avec dans les mains le sort de millions d’hommes, américains, russes, cubains, etc., il mena un cap qui conduisit, avec de nombreux détours, au retrait par les soviétiques de leurs missiles à Cuba. Il ne fait aucun doute que la fermeté et la mesure de Kennedy pendant la crise devaient quelque chose à l’expérience acquise lors de la baie des Cochons ...
Commenter  J’apprécie          220
C'était Eisenhower qui ordonna le renversement de Mossadegh en Iran, d'Arbenz au Guatemala, de Soekarno en Indonésie, et d'autres. Et on ne doute pas de la participation d'Eisenhower dans la planification du renversement de Castro. Il en fut même le moteur.
Commenter  J’apprécie          210

Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Listes avec des livres de cet auteur
Lecteurs de Jim Rasenberger (7)Voir plus

¤¤

{* *} .._..