[...] C'était l'homme le plus riche de Raufarhöfn, il possédait le dernier quota de pêche pour le capelan et le cabillaud.
[...] Il pouvait fermer Raufarhöfn d'un simple claquement de doigts, s'il voulait. C'était le roi de Raufarhöfn. C'était en tout cas ce que disait grand-père quand il s'énervait encore contre Róbert. Et non seulement Róbert faisait la loi, mais il avait aussi l'argent. Et quand il voulait quelque chose, il le payait.
[...] Si on perd le quota pour Raufarhöfn, les derniers emplois vont disparaître, et il y aura trop peu d'enfants ici, l'école va fermer.