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Citations de Joanna Bourne (18)


Il est plus facile de revenir tuer quelqu’un que de le ressusciter.
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Ne sois pas impatient. Tout ce qu’on se donne la peine de faire mérite qu’on prenne le temps.
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Il avançait à la même allure que les hommes qui l’entouraient. Poisson parmi les poissons, il se laissait entraîner par le courant. L’art et la manière de se mêler à la foule, il les possédait sur le bout des doigts, c’était indéniable.
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Un homme incapable de se servir d’une lame ferait mieux de la laisser chez lui. La brandir inutilement monopolisait une main pour rien, et mal s’en servir empêchait de mener d’autres attaques plus efficaces.
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Hélas, même les femmes les plus intelligentes sont capables des pires stupidités au nom de l’amour !
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Rien n'était pire que la soif. Même pas la faim, ni la douleur. Dans le fond, il valait mieux qu'il n'y ait pas d'eau pour la tenter. Elle aurait pu se comporter comme un animal, voler l'eau de ces hommes, qui souffraient plus qu'elle. Elle préférait ne pas savoir à quelle bassesse les circonstances pouvaient la pousser.
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La pression mâle, insistante, vigoureuse de son sexe contre son ventre lui occupait tout l’esprit. Une paix étrange s’était faite en elle. L’aiguillon insistant de la pensée avait cédé la place à un monde de sensations. Le début de panique qu’elle avait ressenti s’était mué en un désir ardent, explicite, qui lui montait délicieusement à la tête.
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Ce dont les gens refusaient de parler était toujours intéressant.
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La vie ne ressemble pas aux fables. Aucun oiseau magique ne se posera sur le faîte du toit, porteur d’un message.
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Les hommes venaient ici pour les femmes et restaient pour la bonne chère. Babette, qui régnait sur la cuisine d’une cuillère de fer, valait plusieurs fois son poids en filles. Plusieurs membres éminents de la police secrète avaient déjà cherché à la convaincre de rejoindre leurs cuisines.
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Elle savait quel piège lui tendre pour le prendre dans ses filets. Il suffisait qu'elle joue la jeune courtisane stupide. C'était son rôle préféré, elle l'avait déjà tenu des dizaines de fois.Elle entrouvrit les lèvres en une moue boudeuse, puis ramena des mèches de cheveux autour de son visage. L'encolure de sa robe était déjà déchirée. Elle tira sur le tissu pour élargir encore l'échancrure. Bien. Ainsi, il ne verrait que sa peau nue.􀀔􀀖􀀃
Elle aurait pu tenir une demi-douzaine de massues dans ses mains qu'il ne s'en serait pas aperçu.
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Ces enfants-là ne sont pas comme les autres. Ils sont intelligents. La beauté de certains fait mal aux yeux. Ils arrivent ici vers l’âge de huit, neuf ou dix ans. Dans cette maison, on ne parle qu’anglais. Ils mangent de la nourriture anglaise, apprennent les leçons et les jeux que l’on enseigne aux petits écoliers anglais. Personne n’imaginerait qu’ils sont nés français. On leur inculque une loyauté sans faille pour la France et la Révolution, puis on les envoie en Angleterre. Comme espions.
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Elle n’aimait pas beaucoup les hommes. Il l’avait deviné dès l’instant où il avait posé le regard sur elle. Il avait vu tous les signes disant qu’un homme, un jour, avait eu pour dessein de la faire souffrir et y était parvenu.
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Quand elle dort, elle se détend complètement. C’est le seul moment où elle n’est pas sur le qui-vive. Et puis soudain elle ouvre les yeux et c’est terminé, elle est réveillée, comme un chat. Elle doit compter des chats parmi ses ancêtres. Ces vieilles familles de l’aristocratie française…
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Hawker, c’était la menace d’une lame fine et coupante. Il cachait sa force dans les fibres les plus profondes de son corps. Dans chaque muscle, dans chaque tendon, dans chaque os de son squelette se nichait la dureté de l’acier.
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Les trucs les plus simples étaient ceux qui marchaient le mieux.
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Comme tout bon serviteur, il savait d’instinct quand se taire et quand parler.
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Le plafond était mansardé. Il s’y cognerait la tête, s’il ne faisait pas attention. Parfois, ce n’était pas un avantage d’être aussi grand.
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