Guillaume quitta La Praline avec un petit sachet de florentins dans sa poche ; avant qu’il ait passé le coin de l’avenue des Francs-Bourgeois, je le vis se pencher pour en offrir un à son chien. Une caresse, un aboiement, le petit bout de queue qui s’agite. Comme je l’ai dit, il y a des gens pour qui donner ne pose aucun problème.