Dans chaque foyer rural ou artisanal, les Égyptiens s’employaient à refaire des enfants pour combler le vide des familles entières disparues. Il faut dire que de telles inondations n’avaient lieu que rarement. Et, cette année-là, ni famine ni épidémie souvent consécutives n’avaient entravé le rétablissement du pays. Bien que très mutilée, l’Égypte s’en tirait à moindre mal.