En dépit de ces airs sacrés, les cercles princiers des XVI et XVe siècles ont le sentiment que les ordres de chevalerie sont considérés par la multitude comme de vains amusements. De là, les affirmations répétées que les ordres ont un but important. […] Car la création d’ordres de chevalerie était devenue une mode depuis le milieu du XIVe siècle. Tout prince, tout membre de la haute aristocratie désirait avoir son ordre.