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Critiques de John Romita Sr. (21)
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The Fantastic Four - Essential, tome 5

Cet Essential regroupe les épisodes 84 à 110 des Fantastic Four, publiés entre 1969 et 1971. Je les ai tous dévorés dans mon adolescence, alors édités dans de magnifiques albums couleur grand format par les éditions Lug. Je les voyais somptueux.

Longtemps après, je me demande ce que je leur trouvais. Le lecteur a vieilli, nul doute.



Du n°84 au n° 102 on a droit aux derniers feux de Jack Kirby qui devait déjà rêver à son Quatrième Monde. Son dessin est aussi génial que jamais mais le tandem avec Stan Lee a perdu son souffle. Ils nous offrent d’abord une série avec un Dr. Doom dont on peine à voir le génie tellement ses actes sont incohérents, puis un diptyque avec un Homme Taupe qui a décidé d’aveugler le monde avec ses petites maisons mignonnes lanceuses de rayons, tellement mignonnes que les FF ont décidé de s’y installer (y’a même un agent immobilier qui s’occupe de la vente ; vous y croyez, vous ?). Ensuite les Skrulls kidnappent la Chose pour en faire un gladiateur sur une planète Skrull fan de la période de la prohibition où tous les E.T. sont transformés en Al Capone. Mouais !



Puis on a droit à une longue série de one-shot sans envergure avant que Jack laisse sa place à John Romita. Difficile de succéder au King, mais je dois dire que l’un des meilleurs dessinateurs du Tisseur s’en sort bien. John cède rapidement sa place à John, Buscema cette fois qui entame une deuxième grande période des FF. Les histoires reprennent du poil de la bête comme si le départ de Jack avait remotivé Stan : Magnéto s’allie avec Namor pour conquérir New York et les FF se retrouvent en vadrouille dans la Zone Négative. Surtout, Reed Richards parvient à libérer Ben Grimm de son fardeau : il peut désormais redevenir humain à loisir, mais cela semble affecter son caractère. Il quitte les FF à grand fracas. Que va-t-il se passer ?



Cette fois la nostalgie n’aura pas suffi à me faire réapprécier ces histoires, sans parler des nombreuses incohérences : la Torche qui s’enflamme dans l’Espace, Jane Richards qui quitte ses compagnons et se retrouve avec eux sans avoir bougé dans l’épisode suivant, lady Dorma l’Atlante qui a besoin d’un bocal d’eau sur la tête pour respirer alors que ses compatriotes respire l’air sans problème, etc. Faut pas pousser mémé dans les orties !



Vais-je continuer ma chevauchée dans le passé de ce comics ? Ahah, Suspense !

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Décennies: Marvel dans les Années 50 - Captain ..

Ce tome est le deuxième de la collection, après Décennies : Marvel dans les années 40 - La Torche Humaine contre le Prince des Mers. Il comprend les aventures de Captain America parues dans les épisodes Young Men 24 à 28 (dessinés par John Romita senior), Captain America 76 à 78 (dessins de Bill Benulis, Jack Abel et John Romita senior), Men's Adventures 27 & 28 (dessins de Mort Lawrence & John Romita Senior), initialement parus en 1953/1954. Les noms des scénaristes n'ont pas été retrouvés. Il commence par une introduction d'une page rédigée par Jess Harold, évoquant le choix d'une anthologie thématique, et de l'apparition d'un Captain America dans les années 1950, alors qu'il a été retrouvé par les Avengers dans un bloc de glace où il s'est retrouvé en hibernation à la fin de la seconde guerre mondiale. Il comprend également 2 postfaces, écrites par Roy Thomas, l'une en 2004, l'autre en 2008. Ce tome contient aussi un épisode de 44 pages écrit, dessiné et encré par Howard Chaykin, avec une mise en couleurs d'Edgar Delgado, initialement paru en 2009.



Cette anthologie contient 16 histoires de Captain America (& Bucky) comprenant 6 ou 7 pages chacune. Steve Rogers est un professeur d'histoire qui a reçu une injection d'un super sérum conçu par le professeur Reinstein, et il a adopté le costume de Captain America. Il intervient aux Nations Unies pour neutraliser Red Skull qui s'est allié aux communistes pour enlever le Premier Secrétaire de l'ONU. Il intervient avec Bucky pour aller délivrer le scientifique ayant mis au point le dispositif de déclenchement d'un canon atomique, enlevé par les russes dans la région de Las Vegas. À Oaklake, le professeur Standish réussit à injecter un produit qui fait changer d'allégeance à Captain America, au grand dam de Bucky. Captain America et Bucky sont envoyés par les services secrets à Oxbridge Road pour prendre contact avec un individu disposant d'informations confidentielles, pendant que Red Skull court toujours. Steve Rogers et Bucky sont de retour à l'armée en uniforme et la journaliste Betsy Ross est en visite dans leur base, soupçonnée d'être à l'origine de fuites d'informations confidentielles. Dans une ambassade américaine derrière le rideau de fer, Steve Rogers se fait enlever par des communistes qui vont essayer de lui faire commettre un incendie criminel à l'ambassade pendant un défilé militaire.



Captain America & Bucky interviennent en Corée pour enquêter sur des ressortissants américains faisant de la propagande communiste à la radio. Les soldats Steve Rogers et Bucky se retrouvent en Égypte pour enquêter sur la possibilité de la présence de communistes fomentant des actions d'espionnage dans le pays. Captain America & Bucky se retrouvent comme passagers clandestins sur un navire emmenant une cargaison de drogue en Afrique. Captain America & Bucky viennent en aide au professeur Collins menacé d'enlèvement de son fils aveugle par des communistes voulant qu'il lui remette des plans secrets d'un moteur atomique miniaturisé. Captain America & Bucky enquêtent à Chinatown où sévit un mystérieux homme sans visage qui contraint les habitants à aider les communistes, en les menaçant de représailles contre leur famille restée en Chine. Etc.



Dans ses postfaces, Roy Thomas détaille le contexte historique de ces numéros : les superhéros sont tombés en désuétude, mais Martin Goodman (responsable d'Atlas Comics qui évoluera en Marvel Comics) a constaté le succès de la série télévisée Adventures of Superman interprété par George Reeves (1914-1959), ayant duré de 1952 à 1958, soit 6 saisons pour un total de 104 épisodes. Il demande donc à Stan Lee de remettre en service Captain America, mais aussi Human Torch (Jim Hammond) & Toro, ainsi que Sub-Mariner. Ces publications ne dureront que quelques mois, ce qui explique la pagination plus faible de ce tome, et l'épisode de 2009 à la fin. Il attire également l'attention du lecteur sur la force symbolique de l'explosion atomique dans Young Men 25 (l'incarnation de la Guerre Froide), ainsi que sur la réunion le temps d'une page de Captain America, Bucky, Human Torch, Toro et Sub-Mariner, une sorte de proto-crossover. Il y en avait déjà eu un du même ordre dans le tome consacré à la décennie précédente.



En choisissant de lire ce tome, l'intention du lecteur est de pouvoir découvrir une période lointaine de l'âge des comics, une période où la production était au plus bas pour le genre superhéros. Il découvre des histoires courtes, avec des scénarios linéaires et rapides. Toutes les histoires se fondent sur le même thème : la lutte contre les communistes et l'idéologie afférente. À chaque fois, Captain America & Bucky défendent la liberté dans son acceptation américaine, contre les méchants communistes russes, coréens, chinois, et les myriades d'espions tentant de saboter les États-Unis. Cette approche ressort avec plus de force que la lutte contre les nazis dans la décennie précédente. Avec le temps, les nazis ont été réduits à un stéréotype de méchants génériques juste bons à être exterminer par les gentils. Le passage du temps n'a pas encore opéré cette cristallisation sur les communistes de la guerre froide, en les privant d'humanité et de personnalité distincte. Les scénaristes (restés anonymes) ne creusent pas la personnalité de Steve Rogers ou de Bucky qui ne sont que des héros d'aventure défendant les valeurs des États-Unis sans état d'âme, sans questionnement. Le lecteur relève que Steve Rogers est devenu un professeur d'histoire, le temps de quelques épisodes, mais qu'il réintègre bien vite l'armée, et qu'il fume la pipe. Il se rend dans plusieurs pays, pas tous communistes, et il y a un développement inattendu (un peu condescendant quand même) sur l'honorabilité des citoyens d'origines asiatique à Chinatown. Par contre, tous les communistes sont fourbes, lâches et menteurs, sans oublier belligérants aussi.



Le lecteur est également curieux de découvrir à quoi ressemblaient les dessins de l'époque, avant que Jack Kirby ne devienne la référence ultime à imiter avec l'avènement des Fantastic Four et des superhéros qui les ont suivis. Il constate qu'ils sont moins frustes que dans le tome précédent, avec des traits de contours plus affirmés, parfois un encrage un peu noir, et des représentations moins naïves, ayant gagné en consistance. Il ne reconnaît pas le trait élégant de John Romita senior représentant Mary Jane Watson une décennie plus tard. Dans la première postface, Roy Thomas indique que John Romita senior s'inspirait de la première version de Captain America Jack Kirby & Joe Simon, tout en apportant une approche influencée par Milton Caniff (1907-1988) dans ses strips d'aventure comme Terry and the Pirates, et Steve Canyon. Le lecteur constate la volonté de Romita et de Lawrence de rester dans un registre plus réaliste que Bill Everett et Carl Burgos, rendant la narration visuelle plus normale pour un lecteur habitué aux comics des débuts des superhéros Marvel dans la décennie suivante.



Ces 16 histoires permettent de découvrir un pan des comics de superhéros à leur nadir en termes de popularité. La lecture en est facile du fait d'histoires courtes et de dessins plus modernes que ceux de la décennie précédente. Le lecteur découvre une charge systématique contre les communistes de tout poil, reflétant l'état d'esprit collectif au plus fort de la Guerre Froide, du côté occidental du Rideau de Fer. Les 2 textes de Roy Thomas apportent des informations bienvenues sur le contexte de ces parutions. Par contre, il ne s'agit que d'une vue partielle de la production Atlas/Marvel de cette décennie, ne reflétant que la maigre production en superhéros, sans aborder les autres genres. 4 étoiles.



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America First - En Union des Républiques Socialistes Soviétiques (URSS), les services secrets ont créé une réplique d'une petite ville américaine pour entraîner leurs agents dont Natasha Romanova. À Washington, le sénateur Joseph R. McMurphy exhorte les bons citoyens à dénoncer ceux qu'ils soupçonnent de participer ou de soutenir des activités communistes. Captain America (William Burnside) lutte contre les saboteurs et les espions communistes. Nick Fury doit témoigner devant la commission des activités anti-américaines (House Committee on Un-American Activities, HCUA).



Howard Chaykin réalise une histoire mettant en scène le Captain America de remplacement pendant la Guerre Froide, en pleine chasse aux sorcières organisée par le sénateur Joseph McMarthy (1908-1957). La reconstitution historique est visuellement magnifique et très impressionnante. Les personnages de l'auteur ont une apparence un peu moins crasse que d'habitude. Il s'attache essentiellement à mettre en lumière la méchanceté inhérente à la zizanie générée par McCarthy, au travers d'une intrigue dont les rebondissements semblent aussi soudain que ceux des aventures des années 1950. 4 étoiles pour une vision moins cynique qu'à l'habitude d'Howard Chaykin, et anti-délation.
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Daredevil - Intégrale, tome 2 : 1966

• « Daredevil - Intégrale 02 : 1966 » de Stan Lee, publié chez Panini France .



• J'ai repris cette lecture à la suite du défi lecture de BD de Babelio de Mars, cherchant une BD avec un titre commençant par la lettre D, dans le but d'étendre ma "culture" BD.



• Aaaaaah.. Ces comics vintage, aux charmes inimitables des années 60, les années où les super-héros en était encore à leurs débuts, pleine d'intrigue complétement loufoques et tirer par les cheveux.. Un parfum délicat pour les amateurs comme moi.



• J'avais commencer cette série après avoir vu l'annulation de la série "Daredevil", adaptation de Netflix avec les droits de certains univers Marvel pour une durée limitée.. étant tombée à échéance, pour le plus grand malheur des fans ! On reste dans l'attente et l'espoir de revoir notre cher Matt Murdock, interpréter par le talentueux Charlie Cox.. Bref, arrêtons de parler de ces adaptations, et revenons-en aux comics !



• Le triangle amoureux entre nos trois collègues continu, la belle Karen toujours représentée par le cliché de la jeune femme niaise et amoureuse du héros, sans autre fonctions possible pour le moment, restant l'objet du désir des deux hommes.. Les aventures de Daredevil, ainsi que les situations attenantes sont toutes plus loufoques les unes que les autres, allant parfois jusqu'au grotesque.. Les années 60 !



• Dans cet album, on aura également d'autres intrigues intéressantes, avec par exemple l'apparition de Spider-Man et Ka-Zar, légèrement entachées par le classique scénario de l'époque qui veux que les héros qui se rencontre se battent entre eux, toujours à cause d'un malentendu qui pourrait être éviter si seulement ils s'étaient écoutés l'un l'autre.. Autre intrigue saugrenue, Foggy se faisant passer pour Daredevil, offrant ici, des situations cocasses, drôles et totalement improbable. Cette intrigue entière vaut le coup d'être lue, rien que pour voir Foggy dans le costume de notre héros !



• Globalement ça donne quoi ? Et bien, pour ma part, j'apprécie ce côté vieillot des histoires Marvel, c'est sans prise de tête et ça ne se prend pas vraiment aux sérieux. Beaucoup n'aimerons pas et trouverons tout ça brouillon, trop prévisible et sans réelles saveurs, mais il ne faut pas oublier l'époque où ces histoires ont été publiées ! Stan Lee a ici intégré l'un des premiers héros handicapé de l'histoire, et sous ces airs kitsch, il faut y voir les prémices de ce héros qui deviendra quelques années plus tard, une icône dans le monde des comics super-héroïques. À l'époque où le jeune Stan Lee proposait son idée, très peu y croyait, et pourtant..



• J'aime beaucoup me plonger dans ces petits morceaux d'Histoire, Histoire avec un grand H, car oui, ces comics traversent le temps, nous rappelant qu'à une époque, des hommes et des femmes ont investies énormément de travail et de temps dans ces comics, en des années où très peu croyait en la qualité de ceux-ci.
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Spider-Man - Intégrale, tome 6 : 1968

« Spider-man, l’intégrale, 1968 » bien que d’un niveau globalement tout à fait honnête, n’est pas pour moi le meilleur cru des aventures du Tisseur de Toile.



Si les dessins de Romita secondé par Don Heck sont de très bonne facture, les affrontements contre le Docteur Octopus et le Caïd sont trop classiques pour être pleinement intéressants.



Celui contre le Vautour, ennemi que j’ai toujours trouvé d’un petit calibre, est en revanche plus intense et dramatique en raison de la vulnérabilité du héros au moment de la bataille.



Coté privée, cela stagne un peu, Parker se rapprochant toujours plus de la belle Gwen Stacy et de sa famille, composée essentiellement de son vieux père, capitaine de police à la retraite.



Il est à noter la similitude entre la situation de Parker très liée à la santé fragile de Tante May et celle de Gwen, liée elle à un père âgé finalement assez vulnérable.



Cette intégrale vaut donc surtout pour moi par l’épisode ou Parker fait la lumière sur la mort de ses parents en Algérie.
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Spider-Man - Intégrale, tome 6 : 1968

Ce recueil débute avec « Disaster », la fin de la saga en quatre partie « Doc Ock wins ». Parker, toujours amnésique, affronte ensuite Ka-Zar (la version Marvel de Tarzan), ce-dernier étant manipulé par Jonah Jameson qui considère toujours le Tisseur comme une « menace ». Notre héros préféré retrouve cependant la mémoire et combat un second Spider-Slayer. Au cours de ces épisodes se poursuit la romance entre Peter et Gwen, ce qui lui permet de rencontrer le père de la jeune fille, le capitaine Stacy lequel connaitra un destin tragique. Par la suite, un récit assez abracadabrant mais typique de son époque imagine un nightclub qui sert de couverture pour des criminels désireux de « laver le cerveau » de personnalités importantes. Mary Jane, engagée pour y danser, sert ainsi, sans le savoir, les intérêts d’un mystérieux Brainwasher avant que le véritable cerveau ne soit révélé : le Caïd. Même le capitaine Stacy va subir un lavage de cerveau. Après un intermède dans lequel Spiderman rencontre Medusa, nous avons droit à l’association entre le premier Vautour et son successeur, Blackie Drago, qui s’affrontent pour déterminer qui a le droit de porter les ailes. Enfin Spidey doit encore combattre Mysterio le maître des illusions : ce-dernier lui fait croire qu’il dispose d’un rayon rétrécissant et expédie l’Araignée dans un parc d’attractions mortelles.

Ces épisodes (qui vont du 55 au 66 plus un annuel) sont tous sympathiques ; ils rappelleront aux plus âgés les fameux albums « une aventure de l’araignée » publiés aux Editions Lug durant les années 80 puisque ce recueil rassemble des histoires précédemment parues dans les albums « Le triomphe du dr octopus », « Rencontre avec Ka-Zar », « Amère victoire », « La proie du Vautour » et « La folie de Mysterio ». L’épisode avec Mysterio est probablement le plus original et réussi, le background des personnages se complexifie, Peter est toujours partagé entre ses activités super-héroïques, ses amours contrariés, la santé de Tantine, etc. Le duel entre les deux Vautours s’avère, lui aussi, plaisant. Une Intégrale peut-être un peu moins marquante que les précédentes mais fort agréable à lire ou relire pour les fans d’encapés nostalgiques.


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Décennies : Marvel dans les Années 60

Ce tome est le troisième de la collection, après Décennies : Marvel dans les années 40 - La Torche Humaine contre le Prince des Mers et Décennies: Marvel dans les Années 50 - Captain America. Il comprend les épisodes ou des extraits des numéros Amazing Spider-Man 1, 8, 14, 16, Amazing Spider-Man Annual 2 & 3, Strange Tales Annual 2, Avengers 11, Daredevil 16, 17 et 27, X-Men 35, Fantastic Four 73, Fantastic Four Annual 1 et Tales to Astonish 57. Il commence par une introduction d'une page rédigée par Jess Harold listant les principaux événements survenant dans les épisodes présents. Stan Lee a co-écrit toutes ces histoires, à l'exception du numéro des X-Men écrit par Roy Thomas. Jack Kirby a dessiné les épisodes Fantastic Four Annual 1, Amazing Spider-Man (ASM) 8, 73. Steve Ditko a dessiné Amazing Spider-Man 1, 16, ASM Annual 2. Tales to astonish 57 est dessiné par Dick Ayers, Avengers 11 par Don Heck, Daredevil 16 & 17, ASM Annual 3 par John Romita senior, Daredevil 27 par Gene Colan, X-Men 35 par Werner Roth.



Spider-Man s'introduit dans le Baxter Building pour impressionner les Fantastic Four et se faire embaucher. La rencontre tourne au vinaigre. Spider-Man va chercher l'aide de Human Torch (Johnny Storm) dans le pavillon des Richards à Long Island, mais une petite incompréhension retarde leur coopération. Spider-Man se retrouve devant le pavillon des Richards alors que Johnny Storm accueille ses invités à sa fête d'anniversaire ; Spider-Man veut lui rabattre son caquet. Dans une grotte, lors d'un combat contre Green Goblin, Spider-Man se retrouve face à Hulk. Afin d'occuper les superhéros à autre chose, Egghead (Elihas Starr) envoie un message à des fourmis, les avertissant que Spider-Man va s'en prendre à Giant Man (Hank Pym). Du coup ce dernier envoie Wasp (Janet van Dyne) à la recherche de Spider-Man et le combat s'engage rapidement. Matt Murdock accompagne Foggy Nelson et Karen Page au cirque où se produit Ringmaster (Maynard Tiboldt) et sa troupe. À la même représentation, Spider-Man a décidé de se produire sans y être invité pour montrer quel acrobate il est. Dans le futur, Kang a conçu un nouveau plan pour se débarrasser des Avengers dans le présent : y envoyer un robot de Spider-Man qui va s'en prendre aux Avengers. Le vrai Spider-Man se retrouve mêlé à cette tentative.



Xandu a réussi à réunir les 2 moitiés du sceptre de Watoomb, en envoyant 2 gros bras en récupérer une chez Stephen Strange. Les gugusses se sont fait remarquer par Spider-Man qui a vite fait de se retrouver dans une dimension magique. Le Maraudeur Masqué a embauché des gros bras et les a habillés de costume de Daredevil. L'un d'eux s'en prend à Spider-Man. Pendant dans ce temps-là, Franklin Nelson laisse entendre à Karen Page qu'il pourrait être Daredevil. Grâce à l'aide de Daredevil, Thor réussit à contacter Spider-Man et à lui proposer d'intégrer les Avengers. Il doit passer un test : ramener Hulk dans leur quartier général. Le Maraudeur Masqué est de retour et il fait équipe avec l'Homme Échasse. Ils réussissent à enlever Matt Murdock, Karen Page et Franklin Nelson, persuadés que l'un d'eux est Daredevil. Stilt-Man tombe sur Spider-Man lors du casse d'une bijouterie. Alors que Peter Parker se détend dans la nature du côté de Westchester, il doit se battre contre un robot, puis contre les X-Men. Les Fantastic four son persuadé que Victor von Doom a pris possession du corps de Daredevil, mais ce dernier a réussi à s'en libérer sans qu'ils le sachent. Cette situation va également impliquer Spider-Man et Thor.



Avec cette collection en 8 tomes, l'éditeur Marvel a décidé de revisiter chacune des décennies de ses 80 ans d'existence, en commençant par les années 1940 lorsqu'il portait le Timely, puis les années 1950 pour les productions Atlas, et il attaque l'ère Marvel avec les années 1960. Les épisodes contenus dans ce tome sont parus entre 1963 et 1968. L'ère Marvel a commencé en 1961 avec la parution du numéro 1 de la série Fantastic Four. Ici, l'éditeur a choisi de privilégier les rencontres entre Spider-Man et d'autres superhéros, mettant ainsi en avant qu'il s'agit d'un univers partagé, que les personnages d'une série peuvent rencontrer les personnages d'une autre série, puisqu'ils évoluent tous à Manhattan ou dans les environs. En fonction de la sensibilité du lecteur, cette interconnexion peut constituer la preuve de la richesse de cet univers, ou au contraire sa pire faiblesse permettant aux scénaristes paresseux de se contenter de faire vivre les superhéros entre eux, de manière stérile.



Il est très difficile de porter un jugement sur ces épisodes car ils font partie des fondations de l'univers partagé Marvel, et en sont pour certains des pierres angulaires parce qu'ils contiennent les premières apparitions de personnages récurrents. De la même manière, il est difficile de porter un regard critique et encore moins objectif sur les dessins, sans les replacer dans leur contexte, sans rappeler que Steve Ditko et Jack Kirby étaient les coauteurs de ces récits, les co-créateurs de ces personnages, de cet univers, de cette mythologie. Il est possible d'indiquer qu'une partie significative de ces rencontres comportent des incompréhensions, un peu de jalousie (de la part de Spider-Man vis-à-vis de Johnny Storm), de défiance a priori en dépit des faits (Daredevil envers Spider-Man, les X-Men en vers Spider-Man). Indépendamment de la réalité de qui a contribué pour quelle part dans ces histoires, Stan Lee a écrit ou coécrit la majeure partie des comics Marvel de 1961 à 1966, ce qui est d'ailleurs reflété dans cette sélection qui ne comporte qu'un seul épisode écrit par quelqu'un d'autre (Roy Thomas). Le lecteur note immédiatement le volume important de texte, une volonté de Stan Lee pour montrer que ses bandes dessinées ne s'adressaient pas à des illettrés et que les personnages faisaient usage d'un vocabulaire étendu. Avec le recul, il peut observer que certains textes décrivent pour partie le dessin qu'ils accompagnent, mais assez rarement. Il remarque aussi que Lee n'hésite pas à briser le quatrième mur et à s'adresser directement au lecteur pour attirer son attention sur la qualité du suspense, sur le fait que le récit commence par une scène d'action échevelée, ou sur la qualité du dessin d'une case. Les intrigues reposent sur les actes criminels de méchants voleurs (Egghead, Ringmaster) avec une technologie d'anticipation, ou de méchants assoiffés de pouvoir (Kang ou Xandu) disposant également d'une technologie d'anticipation ou de superpouvoirs.



D'une manière générale, les capacités des superhéros restent encore assez proches de celles d'un être humain en termes de force : Hulk est une très grosse brute, mais il ne s'agit pas encore du monstre avec des muscles partout capable de démolir un gratte-ciel à main nue. Il faut attendre le dernier épisode du recueil (Fantastic Four 73) pour retrouver le style classique de Jack Kirby & Joe Sinnott. Le lecteur familier de John Romita senior repère l'élégance légendaire de ses dessins dans quelques-unes de ses cases. Il remarque que Steve Ditko encre Jack Kirby à 2 reprises : pour Strange Tales annual 2 et Amazing Spider-Man 8. Gene Colan impressionne déjà par la fluidité de ses mouvements dans Daredevil 27. Le lecteur reprend conscience (s'il l'avait oublié) d'à quel point les dessins de Steve Ditko portent la marque de sa personnalité, avec des poses de personnages très différentes de celles de Kirby, et des protagonistes plus frêles, moins imposants physiquement. Outre la curiosité de replonger dans cette sélection d'histoires des années 1960, le lecteur (re)découvre un épisode dont le plaisir de lecture n'a pas diminué avec les décennies passées : Amazing Spider-Man annual 2 paru en 1965. D'une certaine manière, Steve Ditko fait se rencontrer ses 2 personnages : Spider-Man et Doctor Strange, le premier se trouvant transporté dans le monde du second. La narration reste empreinte des caractéristiques de l’époque, en particulier une narration tout public et des phylactères copieux et explicatifs. Ceci n'empêche pas de ressentir l'étrangeté de la dimension spirituelle dans laquelle Spider-Man se retrouve transporté, ainsi que l'existence de connaissances antiques accessibles uniquement à une poignée de sachants qui ne maîtrisent pas complètement le maniement des énergies qu'elles mettent à leur porté.



Comme pour les précédents tomes, l'intérêt du lecteur dépend de ce qu'il est venu chercher. En effet cette anthologie picore quelques épisodes de plusieurs séries, ayant en commun de contenir des rencontres entre des superhéros Marvel. À l'évidence, il s'agit de mettre en avant la nature interconnectée de cet univers partagé. C'est également l'occasion pour le lecteur de (re)découvrir ces épisodes qui constituent un échantillon de ce qu'étaient les comics Marvel à l'époque, attestant de l'omniprésence de Stan Lee et de son bagout de bateleur, mais aussi des valeurs qu'il met en avant au travers de ses personnages, de leurs imperfections et de leur comportement parfois infantile, des caractéristiques de la narration visuelle, avec la force des dessins de Jack Kirby, l'étrangeté de ceux de Steve Ditko, parfois l'élégance de ceux de John Romita senior, et déjà la fluidité des mouvements de ceux de Gene Colan. 4 étoiles, le thème ayant orienté le choix des épisodes et fait choisir des histoires souvent anecdotiques.
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Spider-Man - Intégrale, tome 9 : 1971

Si « Spider-man, l’intégrale 1971 » n’est sans doute pas un must absolu, force est de constater que les scénario tiennent bien la route, avec un Peter Parker plus mal dans sa peau que jamais après le meurtre de Stacy et terriblement tiraillé par sa double vie incompatible avec la vie normale d’un jeune homme de 20 ans.



La teneur sociale plus marquée (drogue, prison, minorités) bien qu’étonnante donne un coté plus relevé et bien ancré dans son époque aux aventures du Monte-en-l’Air New Yorkais.



Coté graphisme, Gil Kane n’a rien à envier à John Romita, son style plaisant étant comparable à celui de son historique prédécesseur.



D’un point de vue plus critique, si le Bouffon Vert demeure l’ennemi le plus excitant de Spider- man, on notera la présence de personnages peu inspirés comme l’horrible Morbius, le minable Rôdeur et la présence de seconds couteaux fadasses comme le Scarabée ou Iceberg.
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Spider-Man - Intégrale, tome 8 : 1970

« Spider-man, l’intégrale 1970 » ne me laissera pas un souvenir très vivace.



Les dessins de Romita et surtout de Buscema sont toujours d’excellentes qualité avec un héros gouailleur évoluant dans les gratte ciels new-yorkais, mais Spider-man manque pour moi de renouvellement dans ses challengers charismatiques.



Le seul intérêt de cette intégrale reste les errements personnel de Parker, dévoré par son secret trop lourd à porter et par un terrible sentiment de culpabilité envers Gwen, qui accuse Spider Man de la mort de son père qui au passage avait découvert le secret de Parker.



Malgré cela cette intégrale conserve pour moi un fort goût de réchauffé.
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Spider-Man - Intégrale, tome 4 : 1966

« Spider-Man, l’intégrale 1966 » se lit plutôt bien.



Le style de Dikto passe assez bien pour l’époque même si certaines intrigues sont minimalistes et flirtent bien souvent avec le ridicule.



Celui de Romita est déjà plus élaboré et plus séduisant marquant la grande époque de Spidey.



Coté adversaires, Octopus, Kraven, le Bouffon Vert et le Rhino sont d’incontournables références assurant une solide opposition à notre Tisseur préféré.
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Spider-Man - Intégrale, tome 4 : 1966

Ce recueil reprend les épisodes 32 à 43 de la série Amazing Spiderman, nous voici replongé au cœur même des swingin’ sixties et au tout début des aventures de l’Araignée préférée du quartier.

Parmi les morceaux de bravoure de cette époque citons la saga en trois parties « If this be my destiny » voyant tantine May hospitalisée après une transfusion du sang de Peter (jadis publié chez Lug dans l’album « Echec au stratège »). Nous débutons directement ce recueil avec la seconde partie, « Man on a rampage », puisque la première datait de décembre 1965. A noter que cette saga, fréquemment citée parmi les classiques du Tisseur, a été sélectionnée par les fans comme une des 75 meilleures histoires publiées par Marvel lors du 75ème anniversaire de la Maison des Idées. L’épisode final qui montre un tisseur à bout de force se redresser péniblement pour porter secours à May conjugue l’écriture de Stan Lee et le visuel de Steve Dikto pour aboutir à un classique illustrant, sans doute mieux que toutes les histoires antérieures, le fameux « de grands pouvoirs impliquent de grandes responsabilités ».

Autre moment clé de l’Histoire de l’Araignée : le Green Goblin découvre l’identité du Tisseur dans un récit en deux parties (« How Green Was My Goblin » / « The End of the Green Goblin »). En dépit de la naïveté de l’intrigue et de son côté vieillot, associé à de grosses facilités (Le Goblin, à la manière d’un méchant de James Bond, s’épanche longuement sur ses desseins permettant à Spidey de se libérer) ce doublet demeure un texte fondateur de la mythologie Marvel.

Enfin, une autre saga en trois parties occupe les N°41 à 43 et confronte Spidey à un nouveau vilain qui deviendra, lui aussi, un ennemi récurent, le Rhino. Ces trois numéros furent jadis rassemblés chez Lug dans un album intitulé « La Fureur du Rhino ». Durant cette saga Peter rompt avec Betty, commence sérieusement à s’intéresser à Gwen et rencontre enfin Mary Jane avant de combattre le fils de Jonah, John Jameson, contaminé par des spores extra-terrestre dans la lignée des classiques de la science-fiction façon « Le Monstre » ou « La marque ». Le monde réel s’invite également dans le quotidien du Tisseur puisque Flash part pour le Viet-Nam et que Harry Osborn prend davantage d’importance .

Les autres épisodes confrontent Spidey à des vilains sans grande envergure même si on note un combat contre Kraven. Qu’importe, avec les trois sagas précitées, cette année 1966 se révèle indispensable.

Dans l’ensemble, une intégrale de très bon niveau : trois sagas incontournables des premières années du Tisseur et une poignée d’épisodes certes mineur mais cependant tout à fait corrects et plaisants.


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Spider-Man - Intégrale, tome 8 : 1970

L'année 1970 de Spider-Man est de qualité mais reste néanmoins inférieure à ce que toute la série nous avait proposé depuis ses débuts [...] Les dessins ont pâti des changements trop fréquents de dessinateur avant que Gil Kane vienne remettre de l'ordre avec grand talent.
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Spider-Man - Intégrale, tome 4 : 1966

Si l'année 1966 fut riche à plus d'un titre pour Spider-Man, elle se montre surtout d'une grande qualité tant Stan Lee, Steve Ditko puis John Romita Sr. se sont surpassés pour nous offrir des histoires toujours aussi divertissantes dont certaines vraiment excellentes.
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Spider-Man - Intégrale, tome 5 : 1967

Ce nouveau recueil rassemble les épisodes 44 à 55 de la série, accompagné du quatrième annual. A l’époque, la continuité était plus simple et Peter Parker vieillissait avec ses lecteurs. Ayant débuté comme un lycéen timide le voici à la fac et courtisé par les bombasses Gwen Stacy et Mary Jane Watson. Il emménage également chez son vieux pote Harry Osborne, fils du Bouffon Vert, et voit son ancien ami / ennemi Flash Thompson, plus mâture, partir pour le Viet-Nam. Les dessins de Romita sont très bons, les scénarios de Stan Lee trouvent le juste équilibre entre le côté romance proche du soap-opéra des aventures de Peter Parker et l’action avec une floppée d’ennemis qui s’en prennent à son alter-égo arachnoïde. Les intrigues s’étoffent et prennent généralement deux numéros pour être résolues.

La plupart des « méchants » préférés des fans effectuent une apparition en cette glorieuse année : le Lézard, le Shocker, le Vautour et Kraven (lesquels s’associent dans un numéro anthologique, « From the Depths of Defeat! »). Tout cela conduit Spider-Man vers son cinquantième épisode, le légendaire « Spider Man No More ! » qui voit Parker renoncer (très provisoirement bien sûr) à son identité secrète. Le Caïd effectue également son premier tour de piste dans ce N° dont l’intrigue se poursuit dans les deux épisodes suivants. Difficile de surpasser ce récit ? Lee et Romita prouvent le contraire avec une saga en quatre volets (le quatrième étant dans l’intégrale 1968) au cours de laquelle Octopus s’installe incognito chez Tante May et provoque un affrontement avec le Tisseur qui voit la vieille s’écrouler, victime d’une crise cardiaque. Spider man perd ensuite la mémoire et le vilain tentaculaire parvient à le convaincre qu’ils sont partenaires de crime.

Bref, du tout bon pour cette INTEGRALE qui nous rappelle à quel point Spider-man pouvait être fun et divertissant à sa grande époque.


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Amazing Spider-Man

Un ennemi puissant, des auteurs de talent et un Spider-Man paumé… Un beau cocktail !
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Deadpool, tome 4 : A Grands pouvoirs, grand..

Excellentissime !

Deadpool qui revient dans le passé prendre la place de Peter Parker pour que la Fouine l’aide à rentrer dans son présent… Il y a un côté Retour vers le Futur en plus de la parodie. C’est vif, réjouissant, et encore mieux dessiné avec Pete Woods.

Mais surtout, la seconde histoire, l’histoire d’origine, celle dans laquelle se retrouve Deadwood, est publiée en seconde partie. Et là, on peut voir comment Joe Kelly s’est amusé à coller aux images d’origine et le talent qu’il lui a fallu pour suivre exactement la trame en insérant son histoire !

Brillantissime.

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Spider-Man - Intégrale, tome 7 : 1969

« Spider-man, l’intégrale 1969 » est dans la moyenne des aventures du Monte-en-l’air.



L’épisode à rebondissements autour de la tablette permet de mettre en scène de nombreux ennemis du Tisseur, certain de premier rang comme le Caïd ou le Lézard, d’autres plus anecdotiques comme le Shocker et enfin certains franchement minables comme Marko ou même Silvermane.



On appréciera l’élégance et le raffinement du style de Buscema, plus élaboré que celui de Romita mais il manque à cette intégrale un épisode marquant pour être totalement enthousiasmante !
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Spider-Man - Intégrale, tome 7 : 1969

L'année 1969 de Spider-Man fut intéressante à plus d'un titre redressant ainsi la situation sans pour autant atteindre l'excellence plusieurs fois touchée par Spider-Man. Les fans de comics comme du personnage y trouveront largement leur compte.
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Spider-Man - Intégrale, tome 6 : 1968

Si cette année 1968 est synonyme d'une baisse de qualité pour Spider-Man c'est d'abord parce que l'année 1967 était grandiose mais aussi parce que les choix en coulisses n'étaient pas les plus judicieux. Néanmoins, c'est toujours avec autant de plaisir que l'on suit la vie de Peter Parker et les aventures de Spider-Man.
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Spider-Man - Intégrale, tome 5 : 1967

S'il n'y a pas de véritable révolution, les histoires présentées dans cet Intégrale sont toutes de très grandes qualités et se dévorent comme des bons serials puisque Stan Lee ose des histoires plus longues sur plusieurs numéros. John Romita Sr. nous fait l'étalage de tout son talent afin de nous offrir du grand divertissement.
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Décennies : Marvel dans les Années 60

Marvel dans les années 1960 est un album agréable à parcourir et qui mérite qu’on y jette un œil. À conseiller en priorité aux amateurs des aventures de Spider-Man qui risquent d’être aisément contentés avec cet album !
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