Après la perte irréparable que j'avais subie, l'un de mes premiers soins fut d'imprimer et de publier le traité, dont une si grande part avait été l'œuvre de celle que j'avais perdue, et de le dédier à sa mémoire. Je n'y ai fait aucun changement, ni non plus aucune addition, et je n'en ferai jamais. Quoiqu'il y manque la dernière retouche de sa main, jamais la mienne n'essayera d'y suppléer.