Un villageois célibataire (Thoreau) écrivit : « Nous ne savons pas où nous sommes. En outre, nous dormons profondément la moitié du temps. Cependant, nous nous estimons sages, et avons une disposition bienséante, en surface. » Cette disposition bienséante, en surface, permet les combinaisons humaines et les moments de tendre affection. C’est chose folle que de vivre. Les villages existent pour tempérer cette folie, pour la cacher aux enfants, pour la confiner au domaine privé, pour tempérer ses exigences en habitudes, pour nous protéger des ténèbres qui règnent hors de nous, qui règnent en nous.