Face au miroir, je me sentis tout d’un coup vieux : mon corps, le beau corps puissant et ferme de ma jeunesse, s’affaissait, fondait, s’en allait. Je me jetai de l’eau sur le visage et les cheveux, me coiffant à la hâte avec les doigts, et ressortis me rhabiller. La matière lisse et soyeuse du survêtement glissait agréablement sur ma peau, c’était réconfortant.