C’est sous un ciel assombri de septembre qu’Arthur a finalement quitté la Mère, la terre qui l’a vu naître et toute sa vie d’ici. L’air content, il a dit qu’il allait rejoindre un grand poète à Paris, Paul Verlaine, avec qui il avait correspondu au cours de l’été.
Elles connaissent ses aspirations littéraires.
(…)
Isabelle se lève et enfile son tablier gris.