Naître fille d’angoisse, c’est attendre les canons de la guerre entre chaque repas. Et quand l’heure de la bataille sonne enfin, c’est le soulagement, l’acquiescement d’un état, pour un temps. L’autorisation d’une façon d’être, finalement justifiée, et l’apaisement dans l’action. À répétition. C’est le cycle d’’Isabelle, confortablement engluée dans le joug maternel.