Je savais qu'on peut faire mentir même le soleil, mais on sentait que nulle manipulation de la lumière et de la pose n'aurait pu transmettre la délicate nuance de sincérité de ses traits.
[Joseph CONRAD, "Heart of Darkness" (Au coeur des ténèbres), 1899-1902, III - traduit de l'anglais par Jean-Jacques Mayoux (1980), éd. de poche GF Flammarion, 1989, pages 194-195]