A Stebts, ils s'embarquèrent dans une jonque pour remonter le fleuve jusqu'au village de Ludmilla. Elle devint durant tout le voyage de plus en plus mélancolique. L'ambiance de l'air natal lui amenuisait les traits et les mains. Elle ramait parfois, si la voile manquait de vent. Elle se faisait plus tendre, et soudain toute farouche.