Le monde se taisait, le monde sortait d'une guerre meurtrière qui n'était pas terminée dans certains pays, le monde pansait ses blessures, dénombrait ses morts, faisait semblant d'ignorer que le spectre à la faux rôdait encore. Seul espoir, dans ce monde aveugle, le cri d'un homme, Théodore Herzl, luttant pour la création d'un état où les juifs ne redouteraient plus les pogroms assassins.