Je pensai aux hommes, aux femmes, aux enfants de Mogok, à leur accueil, à la chance d'avoir vécu parmi eux, avec eux, grâce à Julius ... grâce à Jean.
Instinctivement, je me tournai vers lui.
Il sentit sans doute l'intensité de mon regard et dirigea ses yeux de mon côté.
- Merveilleux, non ! dit Jean.
Comme il avait raison ! Un tel voyage avec un tel compagnon appartenait vraiment au domaine du merveilleux.