Ces hommes avaient compris que, malgré sa prodigieuse et magnifique richesse, la faune de ces contrées ne saurait longtemps survivre aux trafiquants d'ivoire et de cornes de rhinocéros, de peaux de fauves et viande de buffle, aux chasseurs de passage et de profession, à la cupidité, à la vanité, à la soif de l'aventure, à l'avance constante de civilisation vers les terres vierges, à la marée du bétail indigène.