Rue des Parfums, rue des Epices, sombres couloirs, si grouillants de guenilles et d'oripeaux que le porteur d'eau les évite, d'où vient qu'elles aussi participent à la sainteté de la ville ? Est-ce d'avoir leurs dalles usées par des pieds nus, et d'appartenir à ce dédale sacré qui mène à la fois au Saint-Sépulcre, à la mosquée d'Omar, au Mur des Pleurs ?