Leur a-t-on jamais enseigné ces vérités qu’elle sait à présent ? Que cette terre de liberté peut être rude aux étrangers. Qu’immigrer pourrait bien raccourcir votre vie. (…) Laisser son foyer pour traverser l’océan afin d’aller tenter sa chance. Une faible chance. A peine un « peut-être ». Parfois, elle se demande si c’est le pays de la liberté. Mais une chose est certaine, c’est la terre des braves.
(p. 217, “Orchard Street, à l’aube”).