[...] il n'est rien que les coquines ne fassent, rien que leur lubricité n'invente, aucun goût qu'elles ne préviennent, aucune passion qu'elles n'échauffent ; tantôt victimes, et tantôt prêtresses [...].
(Marquis de Sade, Justine ou les Malheurs de la vertu, 1791)