À Matthieu Galey : '' Je souffre de voir les villes polluées, le bord de mer inondé d'huile, de moins en moins d'espèces animales. (...) quand on remplace les arbres par des pylônes, on voit un monde qui meurt. Alors je tâche de lutter par toutes sortes de moyens légaux, en assistant les gens qui tentent de protester. (...) J'écris, j'envoie des télégrammes (...) Ce n'est pas simplement en affirmant ses opinions, c'est en montrant un certain angle de vue, une certaine image du monde qu'un écrivain peut se manifester. ''