Aujourd'hui, voyager c'est merdique. C'est comme une déportation. Dans le futur, ça sera réservé aux pauvres. (...)
Aller d'une ville à l'autre sera réservé à des spécialistes: chauffeurs, mendiants, livreurs de pizzas. (...) Avec les voyages, ce sera le même topo. Les riches achèteront des sensations sur Internet et seuls les minables iront dans des endroits désagréablement réels.