Je crois que là où les adultes ont merdé c’est qu’ils ont fait confiance jusqu’au bout aux gouvernements.
Si je coupe les branches qui étouffent les plantes, je les entends pleurer, mais j’entends aussi les groseilliers mieux respirer et leur sève se gorger de soleil. Il existe un équilibre, je crois. Et je commence à le comprendre…