Il parvint à l’entrée de la rue Junot. Devant lui s’étendaient les vestiges du Maquis. Enfer de crasse et de vices aux yeux des bourgeois, la Maquis de sa jeunesse était un royaume où les pauvres – de coeur et de poche – s’accrochaient à leurs rêves, tricotant à mains nues des lambeaux de dignité.