L'ennui, le désespoir la rendaient amère. Habituée à briser tous les élans de sa nature, elle n'en retenait que mieux le poison qui agissait sur elle depuis des années; La violence qu'elle maîtrisait sans cesse avait peu à peu endurci son coeur au point de la rendre indifférente à la souffrance d'autrui.
Deuxième partie
Chapitre II