Elle se laissa aller à reprendre le refrain de Nhar Lefrak Bkit de Cheb Hasni qui passait à la radio du matin au soir. Elle était devenue plus attentive au contenu de ses chansons depuis l'assassinat du chanteur il y avait presque deux ans déjà, alors que leur mélodie suffisait à la combler de joie avant le malheur. Comment de telles paroles avaient pu conduire à tuer cet homme ? Il ne chantait que l'amour ! Il y avait sans doute autre chose, une histoire de femme peut-être ?