Kanan Minami

J'ai fini le tome 7, et franchement, ce n'est pas mon préféré du tout. 📚 L'intrigue ne me convainc pas du tout. Trop de mesquinerie et de rebondissements farfelus. Halstead, l'ex-meilleur ami de Kyota, est revenu pour se venger, mais sérieusement, est-ce vraiment nécessaire ? 😒 Ça rajoute juste du drame inutile. L'auteure Kanan Minami aborde le thème du viol et des faux témoignages, mais je me demande pourquoi inventer une histoire aussi compliquée quand on peut simplement avouer ses sentiments. 🤷‍♀️ Halstead est un personnage étrange, torturé, prêt à tout pour se venger, ce qui complique la vie de Kyota et Hibino. Pour moi, ce tome n'apporte pas grand-chose à l'histoire principale. J'aurais préféré en savoir plus sur les familles de nos héros, remplies d'émotions. Bref, un tome passable, mais j'espère mieux pour la suite ! 😊✨

Mon avis détaillé


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Ce tome est plus doux et sensible que les précédents. Le personnage principal, Hibino Tsubaki, est jalouse et veut passer son premier Noël avec son petit ami, Kyota. Cependant, Kyota ne montre pas le même enthousiasme qu'elle. En le relisant en tant qu'adulte, je trouve parfois le comportement de Kyota moyen, voire irrespectueux envers les femmes. Hibino le met au pas, lui apprend à respecter l'autre. Elle s'impose. Son corps, son rythme. Kyota évolue en bien au contact d'Hibino. Elle lui ouvre les yeux sur son comportement envers les femmes. Cette romance montre que l'on peut en tant que femme respecter son corps et ses envies sans pour autant être rejeté par l'homme. Kyota est son contraire, son père et sa mère sont aux abonnés absents, il n'a de comptes à rendre à personne. Ils s'entraident mutuellement dans leur relation. Ce tome aborde également la pression familiale et la performance. En effet, Hibino subit des pressions familiales intenses pour réussir. Heureusement, ces moments difficiles sont contrebalancés par des moments tendres et des scènes drôles. En somme, j'ai beaucoup apprécié ce tome pour sa douceur, sa sensibilité et sa capacité à aborder des sujets difficiles.

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Je voulais partager mon avis sur le dernier rebondissement dans l'histoire de Kyota et Hibino. Halstead a choisi de ne pas se venger, même si Kyota l'a poussé à bout. Cependant, Hibino est prise au milieu, et elle n'a rien fait pour mériter ça. Kyota est blessé par le manque de confiance d'Hibino envers lui.



Quand Hibino découvre le poteau rose, elle n'a qu'une idée en tête réconcilier nos deux têtes de lards. Comment faire si Kyota ne veut pas parler ? Et si elle contactait la personne responsable de cette situation et de tous ses quiproquos : l'ex d'Halstead.



Les rebondissements autour de Kyota et Tsubaki deviennent répétitifs, mais Hibino apporte un peu de légèreté à l'histoire. Malgré le rythme lent, il y a des moments tendres entre les personnages.



Espérons que la suite de l'histoire apporte plus de surprises et de dynamisme.

La chronique détaillée :
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Je me rends compte que ce manga a différents degrés de lecture. Je le lisais à la légère comme un shojo normal. Cependant, je pense que j’ai grandi, mûri et certaines choses attirent plus mon regard. Ce tome s’ouvre sur une tentative de viol orchestrée par des filles du lycée contre Hibino. Non, mais quoi ? Comment est-ce possible d’en arriver là ? C’est plus de la jalousie, c’est de la haine pure et simple. C’est extrêmement violent. Je ne le souhaiterais même pas à ma pire ennemie. Kanan Minami n’est selon moi pas assez critique vis-à-vis de ce comportement. Les remords exprimés par les filles en question sont véridiques, mais ils ne sont pas assez profonds. On ne s’y attarde pas assez et elles ne sont pas punies pour leurs actes. Aucun événement pour marquer le coup!



Cependant, cela permet à Hibino de faire le parallèle avec Kyota et son comportement avec Hibino à ses débuts, car Kyota est vraiment le garçon par excellence qui ne considère pas les filles et ne respecte pas leur non. Il faut que celle-ci se mette à pleurer pour qu’il arrête. Kyota est l’incarnation du bad boy qui prend et s’impose sans poser de questions. Dans les mangas et même dans les romances, le fait que le mec soit méchant avec la fille renforce son charisme et le rend encore plus attirant. C’est quand même un drôle de message que l’on fait passer. Soyez méchants, et les filles seront à vos pieds ! Quoi, pardon ? Non, je ne suis pas d’accord, et donc quand Kyota se prend un vlan dans les dents, je jubile.

La suite de ma chronique :
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Les personnages deviennent de plus en plus attachants et les relations changent petit à petit.

L'humour est toujours présent avec un mélange de tendresse et d'émotions.

Un second tome fort sympathique pour ce shôjo décalé.

Vivement la suite !

J'ai trouvé ce second tome meilleur que le premier, bien plus captivant et avec une héroïne beaucoup moins agaçante grâce à son coté innocent et très optimiste.

Je me demande ce que nous réserve le tome suivant, vu la fin de celui-ci.

Un dernier tome qui fini avec émotion l'histoire de Mariés mais pas trop. Mais je sors déçue de ma lecture, en effet le côté fou, original et décalé du premier tome s'est totalement perdu et je me suis retrouvée avec un shôjo très classique au final. Dommage...

Un tome beaucoup plus "shojo" que le premier, même si l'humour est toujours présent.

En espérant que le côté parodique du 1er tome revienne, et que ça ne tombe pas trop dans le classique !

Avec ce dernier tome, on tombe carrément dans l'invraisemblance la plus totale : la suppression du système des honeys était un leurre pour faire prendre conscience aux maîtres qu'ils devaient être plus autonomes, Kai devient ami avec Chihaya, et se marie avec Yuzuru, en la prévenant la veille du mariage, et sans lui laisser le choix... Tout finit bien pour tout le monde, mais le caractère de Yuzuru est incroyable...

En bonus, deux histoires plus anciennes de l'auteure, qui elles sont de la catégorie shojo, sans éléments perturbant.

Au final, une série avec des passages dérangeants pour leur violence et la passivité de Yuzuru, plutôt bien construite (l'auteure s'est relancée l'intrigue), au trait plaisant, mais pas indispensable.

Le caractère de Yuzuru continue de me surprendre dans ce tome... Ou plutôt, sa faculté à pardonner et à être gentille avec les personnes qui lui ont fait du mal laisse sans voix !

Elle interprète le plus possible les actes des autres lycéens de manière positive, ce qui permet à l'auteure de les faire mal agir (jalousie, propos méchants) tandis qu'au final, Yuzuru leur trouve toujours des excuses, ce qui permet de rendre "acceptable" son pardon.

Mais à force cela devient lassant : on dirait qu'elle oublie toutes les brimades précédemment subies !

Malgré tout, je reste curieuse de voir comment cette histoire va se terminer.

Suite des aventures de Yuzuru...

Dans ce tome, les situations violentes se multiplient, aussi bien dans les actes que les paroles, ce qui tranchent beaucoup avec le dessin typiquement shojo.

Un volume égal aux autres de la série.

Un premier tome original, je pensais que cela serait un shojo simple avec un mariage dès le début, mais finalement le retournement de situation avec Tsurugi change la donne et rend l'histoire intéressante.

Si vous avez lu mon avis sur le premier tome de cette série vous savez que j’avais été séduite et avais hâte de continuer ma lecture avec ce deuxième tome. Et là encore je n’ai pas été déçue.



Dans ce tome, on en apprend plus sur Nao et sa famille. On devine qu’il a peur d’aimer car le mariage de ses parents est un véritable échec. Sa mère est aigrie et regrette d’avoir épousé son père plutôt que celui de Karin. Quant à son père il est absent et collectionne les maîtresses. Après cela comment croire au mariage et aux contes de fées. On se rend compte que Nao est un personnage blessé ayant eu une enfance difficile. Cela nous le rend plus sympathique.



Quant à sa relation avec Karin, elle évolue bien malgré lui pour devenir plus profonde. Et c’est sans le vouloir qu’il s’attache à elle. Elle qui n’a pas perdu son optimisme et espère toujours se faire aimer de Nao afin de vivre un vrai conte de fées (comme ses parents).



Comme d’habitude, j’ai été charmée par les coups de crayon de Kanan Minami, par ses dialogues plein d’humour et ses notes au fil des pages.



Le hors-série à la fin nous racontant le prologue de ce manga est très intéressant et m’a beaucoup plu.



Cette série continue sur sa lancée et m’a fait passer un agréable moment. Je suis impatiente de poursuivre ma lecture avec le tome 3 pour savoir comment va évoluer cette relation.
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Après 6 tomes quelques peu répétitifs (Yuzuru est maltraitée mais pardonne toujours avec le sourire...) l'auteure nous offre un grand changement, qui remet tout en question : la décision de supprimer le système des honeys.

Ce bouleversement va pousser maîtres et honeys à œuvrer pour tenter de renverser le nouvel administrateur.

Mais bien sûr, il va y avoir quelques obstacles...



Ce tome a donc été le bienvenu et a permis de relancer l'intrigue. Du coup à la fin de ce volume, on a hâte d'avoir la suite !

(Attention, ma critique porte sur l'ensemble de la série !)

Manga emprunté à ma bibliothèque, qui a rajouté sur la couverture la mention "Réservé aux adultes".

Et effectivement, malgré l'indication "shojo manga" de l'éditeur, cette série n'est pas à mettre dans toutes les mains.

On trouve effectivement les situations habituelles dans un shojo (l'histoire qui se passe dans le cadre du lycée, la sortie au parc d'attraction, les quiproquo, ...)



Mais les agressions sexuelles y sont récurrentes (même si elles n'aboutissent pas), et le caractère de certains personnages est inquiétant : les parents de Yuzuru, la jeune lycéenne, acceptent que leur fille ait des relations sexuelles avec son "maître" du moment qu'il paie ses études ; Yuruzu elle-même pardonne en un rien de temps à ses agresseurs ; les revirements de situations, dû à l'imprévisibilité des lycéens, laisse songeurs.



Curieuse de connaître (ou de vérifier!) le dénouement, j'ai lu les 8 tomes. J'ai quand même apprécié l'évolution de l'histoire et le dessin, mais je ne garderai pas longtemps le souvenir de ce manga.

Je me suis décidée à relire cette saga il y a peu et c’est toujours un véritable plaisir.

Cette histoire est à la fois pleine de passion et d’humour, de tristesse et de joie, bref, un mélange d’émotions incroyable.

Les dessins sont magnifiques et les personnages sont vraiment attachants et touchants.

Une série à lire quand on aime les Shojo.

Un dernier tome tout mignon même si le coup d'une ex venant mettre le bazar était inutile à mon gout, mais bon... Malgré tout, j'ai apprécier de découvrir notre petit couple 10 ans plus tard, et voir leur petite famille.

Un triangle amoureux a pris forme, même s'il ne fera peu de mal au couple, il apporte un peu de piquant à l'histoire et avec la fin du tome, une petite dose de suspense.

Un tome plus classique mais qui reste bien fun.

Les personnages deviennent de plus en plus attachants et se dévoilent.

Vivement le tome 4 !

C'est en lisant le manga "Honey*Honey" que j'ai découvert le travail de Kanan Minami. Je me rappelle qu'à l'époque interpellée par le titre et séduite par la couverture j'avais décidé de l'acheter. Et franchement, j'ai été inspirée car j'ai eu un véritable coup de cœur. Coup de cœur confirmé lors de ma lecture de mon manga suivant "Tsubaki love".

Alors, lorsque je suis tombée par hasard sur la version intégrale de Rhapsody in heaven je me suis jetée dessus. J'attendais donc beaucoup de cette lecture. Et je dois avouer que j'ai apprécié ce manga. J'y ai retrouvé le coup de crayon de Kanan Minami qui pour moi fait des dessins sublimes. L'histoire est légère, drôle et l'idylle entre Miyu et Aoi est trop mignonne.

Toutefois, certains passages du manga peuvent déstabiliser si on les prend au pied de la lettre. C'est le cas, par exemple, du passage où Aoi veut faire oublier à Miyu qu'elle a failli se faire violer en lui faisant l'amour. A mon avis, ces passages ne sont là que pour apporter un côté comique à l'histoire. Car Kanan Minami ne manque pas d'humour comme on peut s'en rendre compte à travers les petits mots qu'elle a dispersés au fil des pages. Pour moi, ces petits mots apportent vraiment un plus à la lecture car ils peuvent aussi bien évoquer la pluie et le beau temps que nous expliquer certains choix artistiques.

L'autre petit plus de ce manga c'est la présence à la fin d'un hors-série (d'une vingtaine de pages) sur le personnage de Noa. Noa c'est la petite peste qui, dans le manga, met tout en œuvre pour faire capoter l'histoire d'amour de Miyu et Aoi. Et croyez-le ou non grâce à ce hors-série Kanan Minami a réussi à me rendre Noa sympathique au point que j'ai de la peine pour elle.

En fait, le seul bémol, c'est la présence de scènes d'amour explicites. Attention personnellement ça ne me fait ne chaud ni froid, mais je trouve ça dommage car elles n'apportent rien au récit et confine ce manga à être lu seulement par un public averti.


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