Karazu Yamazaki

J’avoue que ce genre de lecture peut faire du bien comme pour expurger des sentiments inavoués face à du harcèlement scolaire. Les enfants sont méchants en règle générale surtout lorsqu’ils sont en groupe. Comme des lâches, ils s’en prennent à une gentille fillette en la battant, en la rackettant et en l’humiliant. Un jour, il y a un déclic qui se produit en elle lorsqu’ils sont allés trop loin dans leurs bêtises.



Je vous rassure. Il n’y aura point de transformation en un genre de super-héros investi d’un pouvoir salvateur. Non, la transformation sera simplement mentale en basculant dans la vengeance la plus absolue pour chacun des membres de cette classe. Il est vrai que c’est assez jouissif au départ. Cependant, on se rendra vite compte que les choses ne sont pas si simples. Par exemple, l’un des camarades de classe était une ancienne amie qui éprouve beaucoup de remord et qui discrètement s’oppose à ces brimades.



Au début, les actes de vengeance sont assez légers alors qu’on nous promettait du sang. Cependant, au fur et à mesure, cela prend une autre tournure. La fin du premier tome est assez caractéristique du changement. Il y a comme un enchainement d’actes qui en entrainent d’autres plus graves encore.



Je me plains souvent dans les mangas de façon générale par les histoires de lycéennes qui sont légion. Cette fois-ci, je suis comblé par ce survival d’un nouveau genre. Bref, il peut y avoir des scénarios qui sortent de la moyenne par le traitement qui est effectué. Cependant, il faut quand même faire attention à votre progéniture pour ne pas que cela leur donne des idées plutôt malsaines.

La fin du tome 1, ouvrait vers 2 possibilités : renoncer ou s'enfoncer plus profondément dans la vengeance. c'est la seconde option qui a été choisie et cela rend Ayana de plus en plus inquiétante. On est loin des leçons de moral ventant le pardon. Et en même temps ce contre-pied permet de se questionner sur les limites à ne pas dépasser. C'est donc un bon second tome même s'il est plus sombre que le premier

revenge classroom ou quand la victime devient bourreau.

Un très bon premier tome sur la vengeance des têtes-de-turc envers leur bourreau mais aussi envers les passifs qui laissent faire. l'idée de se relever et d'inverser la situation rend le récit très fort mais Ayana sera-t-elle s'arrêter à temps ? ne basculera-t-elle pas dans la folie ?

un manga qui permet de réfléchir sur les conséquences possibles d'une vengeance

pourvu que les prochains tomes ne soient pas trop répétitifs et montrent une évolution des personnages

La fin du tome 1, ouvrait vers 2 possibilités : renoncer ou s'enfoncer plus profondément dans la vengeance. c'est la seconde option qui a été choisie et cela rend Ayana de plus en plus inquiétante. On est loin des leçons de moral ventant le pardon. Et en même temps ce contre-pied permet de se questionner sur les limites à ne pas dépasser. C'est donc un bon second tome même s'il est plus sombre que le premier



un tome 3 où on s'enfonce de plus en plus dans la vengeance, la folie destructrice, l'horreur. Ce tome est de plus en plus morbide. J'émets un bémol sur ce tome car si l'histoire reste intéressante, plus on monte dans le morbide, plus l'histoire et les dessins sont fouillis du coup plus on peine à suivre l'histoire. Ca reste un bon manga mais j'espère que mon impression de "bazar" s'atténuera dans le prochain tome

Un manga qui se présente comme King's Game. Une classe de 26 élèves dont un est la tête de turc de tout le monde.

Apres plusieurs mois de violence, racket, menaces et suite à une tentative de meurtre, Ayana décide de ne plus se laisser faire et de se venger de chacun.

Mais bientôt, elle découvre que quelqu'un à voulut ça mais pas les élèves à qui elle pensait. Mais alors qui ?



La vengeance est un plat qui se mange froid !



Un bon premier tome sombre qui augure d'autres épisodes musclés et glauques !

Au travers de cette série, l’auteur évoque des vrais problèmes de fonds. Mais il y en a tellement au mètre carré qu’on peut s’y perdre un peu.
Lien : http://www.avoir-alire.com/r..

Ayana subit les brimades et les agressions d’élèves de sa classe au quotidien. Mais un jour, quelqu’un la pousse et elle se fait renverser par une voiture. C’en est trop, Ayana ne va plus avoir qu’une seule idée en tête : se venger de tous les élèves de sa classe, ayant tous participé à un moment donné à lui faire du mal…

L’héroïne, de par son côté machiavélique et fou bien visible dans les dessins, m’a fait penser au héros de « Syndrome 1866 », l’adaptation de « Crime et châtiment » de Dostoïevski. Etrangement, elle ne cherche aucune aide et préfère se rendre justice: elle ne semble en effet faire confiance à personne. Parfois les vengeances sont tirées par les cheveux et l’auteur cherche un peu trop à favoriser et faciliter les actions d’Ayana. L’histoire se complexifie quand les effets résultant de la vengeance se révèlent être dramatiques.