On était absorbé par le vide, étreint par le silence, qui n'étaient plus des étendues étrangères regardées de loin sans comprendre, la terre inconnue devenait familière et celui qui la traversait ne pouvait même plus se rappeler qu'autrefois il avait pensé aller plus loin. A mi-chemin sur la route on découvrait que le voyage était achevé, qu'on était arrivé à destination.