Citations de Karen M. McManus (135)
Je suis le narrateur omniscient.
« — Tu esquives.
Elle me murmure à l’oreille :
— Je promets de ne pas t’assassiner.
— Super sexy, comme déclaration.
C’était une blague, mais ma voix est sortie comme une sorte de grondement. »
Peut-être que ma vie ne va plus être que ça, maintenant : une suite de gouttes qui font déborder le vase.
La vie est un marathon, pas un sprint.
Laisse passer un peu de temps. Tu te rappelles ce que je t’ai dit à l’hôpital ? Il faut accepter que les choses s’aggravent avant que ça s’arrange. Ça, on peut dire qu’elles se sont aggravées. Ça ne pourra pas descendre plus bas, il n’y a plus qu’à attendre que ça remonte.
"La vie est un marathon, pas un sprint."
C'est Dateline qui m'y a fait penser. J'y réfléchissais déjà, bien sûr. C'est pas le genre d'idée qui vous vient comme ça au réveil. Mais je butais sur le moyen de ne pas me faire pincer. Je ne suis pas stupide, je sais que je ne suis pas un génie du crime. Et pas question d'abimer mon physique par un séjour en prison.
L'émission parlait d'un type qui avait tué sa femme. Le schéma classique, quoi. C'est toujours le mari. Mais là, plein de gens étaient contents qu'elle soit morte. Elle avait fait virer un collègue, entubé des gens sur des histoires de dossiers municipaux, et elle couchait avec le mari d'une amie. Un vrai cauchemar, cette bonne femme.
Le mari n'était pas une lumière. Il avait payé quelqu'un pour assassiner sa femme et leurs appels étaient faciles a retracer. Mais au départ, il avait profité d'un bon écran de fumée grâce à tous les autres suspects. Quand on tue quelqu'un que tout le monde voudrait voir mort, c'est plus facile de s'en sortir.
Et franchement, tout le monde à Bayview détestait Simon. Je suis juste la seule personne à avoir eu le cran de passer a l'acte. Ne me remerciez pas !
Je n'ai pas su grand-chose, à l'époque. J'étais trop occupé à faire semblant que tout allait bien.
Jusqu'où sont-ils prêts à aller pour cacher leurs secrets ?
C'est dingue, quelqu'un peut détruire ta vie et s'en sortir comme si de rien n'était.
La haine c'est un poison que l'on boit en espérant voir l'autre mourir.
- Je t’emmerde, McNulty.
C’est ma réponse standard à Kyle en toutes circonstances, et elle s’avère toujours appropriée.
-Mais je n’ai pas arrêté de me laisser distraire par mon troisième secret, qui est que tu étais la fille la plus belle que j’aie jamais vu.
J'avais relâché ma vigilance.
Comme quoi ça peut arriver même dans les pires de notre vie. Des trucs horribles, dévastateurs nous tombent dessus les uns après les autres jusqu'à ce qu'on soit sur le point de suffoquer et tout à coup… ça se calme. Et comme il ne se passe plus rien, on commence à se détendre et à se dire qu'on est tiré d'affaire.
C'est une erreur débutant, qui me saute à la figure [...] ( suit page 170)
Il faut souvent que les choses s'aggravent avant de s'arranger.
P.365: "Il faut accepter que les choses s'aggravent avant que ça s'arrange."
Il faut accepter que les choses s'aggravent avant que ça s'arrange.
Bronwyn et moi, on se retrouvera en finale.
- C'est à dire ?
- C'est à dire qu'on finira ensemble.
Tu n'es qu'un abruti si tu crois tout ce que tu lis. De toute façon, t'es un abruti. Mais je te le répète, tout ça est complètement faux.
- Allez, viens, juste une heure, le temps qu'on voie la fin du film. Je te montrerai mon lézard.
Je mets quelques secondes à me rendre compte des interprétations possibles de cette phrase.
- Ce n'est pas une proposition malhonnête! J'ai vraiment un lézard ! Un agame barbu qui s'appelle Stan. Bronwyn manque de s'étouffer de rire.
- C'est pas vrai. Ça n'aurait pas du tout été ton genre mais... pendant une seconde, j'ai vraiment cru que tu parlais d'autre chose.