Kate Hall McMullan

Un petit livre trouvé en bibliothèque, le premier d’une série avec un titre assez marrant. Une école de massacreurs de dragons, ça annonçait une histoire pour enfants plutôt drôle. En effet, même si ça commence pas très bien pour le jeune Wiglaf et son cochon, les aventures se succèdent quand il quitte son (horrible) famille. Les martyres font de bons héros. Bon, la gloire se fait doucement et avec beaucoup d’humour. Ma fille a beaucoup aimé les jeux de mots et les dragons qui ne sont pas très dangereux (pas gentils pour autant !)

Un bon moment pour détendre les zygomatiques des plus jeunes.

Ce bouquin m’a beaucoup fait pensé à Harold et les Dragons mais encore plus jeunesse, avec un humour également moins cynique donc plus abordable pour un jeune public ; c’est clairement un livre pour lecteur débutant, une plongée tout en douceur dans le monde de la fantasy.

Rapide à lire, du moins pour les adultes, le style d’écriture en est simple sans l’être trop. On n’a pas le temps de s’ennuyer, il se passe toujours quelque chose de drôle, burlesque ou simplement de l’action.

Les illustrations sont assez sombres, griffonnés de noir ce qui cadre bien avec l’histoire, les bonhommes ont des têtes bizarres et grotesques.



Wiglaf est jeune et naïf, difficile à croire qu’il est le second fils de la famille et pas le petit dernier ; pour Angus, on n’en sait pas grand chose au final, un gamin qui promet d’être aussi effacé qu’un Ron Weasley, à voir par la suite ; Eric est un vrai lèche-botte qui connaît tout sur tout, pour lui, je résumerai avec un mot : prévisible, j’éviterai les détails afin de ne pas spoiler la fin.



J’ai bien aimé cette lecture, elle n’était pas prise de tête, j’ai passé un bon moment, j’ai bien rigolé et n’ai pas été déçue.
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Wiglaf est le plus petit de sa grande fratrie ; il est aussi le seul rouquin. Sa famille lui fait exécuter toutes les corvées, sans ménagement. Gentil, de bonne volonté et ami des animaux, il n'a jamais songé à se plaindre de son sort. Un ménestrel de passage lui a bien prédit un avenir héroïque.. Avant de s'évaporer.



Un jour, lors d'une sortie familiale à la foire, Wiglaf lit une affiche faisant de la pub pour une École des Massacreurs de Dragons. S'il pouvait l'intégrer, il deviendrait le héros de la famille.. Dès le lendemain, il part avec pour compagnie Daisy, sa truie de compagnie, et une épée magique nommée Droitauoeur.



Un mélange de Dragons, de Cosette, du Petit Poucet et de Harry Potter, mais dans un univers purement médiéval et en version "light", accessible aux plus jeunes.



J'étais passée à côté de cette série fantasy pour enfants, j'imagine qu'elle a dû avoir un certain succès à l'époque ! Les illustrations et la carte de départ rendent bien la tonalité comique de l'histoire. Ce n'est pas du tout triste !
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Un tome qui réunit les trois premières histoires des aventures de Wiglaf, jeune garçon qui entre à l'école des massacreurs de dragons pour fuir ses douze frères et espérer rendre riche sa famille en partant en quête des trésors de dragon.

C'est bien écrit, les aventures sont simples et efficaces. Des récits qu'on peut lire à ses enfants dès 6 ans.

Ce livre regroupe les trois premiers tomes de Wiglaf, un garçon peureux mais dont le destin serait de devenir héros. Pour cela, il décide d'entrer à l'école des massacreurs de dragons. De drôles d'aventures l'attendent avec ses nouveaux amis.



Dans la même veine qu'Harry Potter, pour les premières lecteurs (à partir de 7-8 ans) Kate McMullan raconte avec simplicité et humour des histoires sur le courage, l'amitié, les dragons et le Moyen-Age.

Une intrigue pleine d'humour dont l'action se déroule dans une école un peu particulière - celle des massacreurs de dragons - ou comment dresser un animal légendaire à la réputation sulfureuses, et, surtout terrible en une "bestiole" douce, gentille, aimante, et, adorable.



A partir de 8 ans.

Suite du tome 1 où on retrouve Wiglaf qui doit affronter la mère du dragon qu'il a tuer sans faire exprès dans le premier tome. On suit les aventures des trois amis (le cochon Daisy n'est jamais très loin) avec un peu plus de complicité. L'humour est toujours là ainsi que la bonne étoile sur la tête du "futur" héros légendaire ! Un agréable moment !

Wiglaf, qui ne ferait pas de mal à une mouche, veut devenir un héros légendaire. Ce qui le changerait de sa vie d'esclave au milieu d'une famille nombreuse violente et sale. Pour cela, en compagnie de Daisy, son cochon et meilleur ami, il part à l'école des massacreurs de dragons. Un bon petit roman pour débuter dans la fantasy. Comme c'est pas trop ma tasse de thé, ça m'allait bien. De la bonne humeur, des blagues, des situations burlesques, dans une ambiance moyenâgeuse : tout est là pour passer un bon moment.

J'ai aimé se livre car il y contient de l'humour

Puis car la premi

Ce second tome est tellement bien fait que l’auteur nous rappelle tous les points importants et nécessaires à la compréhension de l’histoire qui auraient pu nous échapper depuis le premier tome et ça, c’est super agréable !



Comme le titre l’indique, cette suite est dans la continuité du précédent : Wiglaf a tué le vilain dragon Gorzil, plus par chance que par habileté, et la mère de ce dernier, Sétha, veut venger la mort de ce fils qui fut son préféré. Comme l’explique le résumé : lorsque Mordred l’annonce à l’EMD, c’est la panique ! On ne peut en effet pas dire que le jeune tueur de dragon soit vraiment fort et heureusement que la bonne fortune l’accompagne, sinon, il aurait péri depuis longtemps.

Ce volume ne fait pas exception à la règle, même si des indices sont disséminés tout au long des pages pour nous aider à trouver son point faible puisque ce détail est à moitié effacé dans le livre que les trois jeunes héros consultent à la bibliothèque : « D’après les chevaliers qui l’ont rencontrée, Sétha ne supporterait pas les ba… » – oui, il manque en effet le dernier mot recouvert d’une grosse tache d’encre ! Argh ! Ajouté à cela l’une des deux caractéristiques qui font d’elle un dragon pas comme les autres : elle ne possède pas d’or et … je vous laisse découvrir le dernier point, autrement, cela pourrait vous mettre la puce à l’oreille. Cette faiblesse, je ne l’ai pas trouvé avant les dernières pages, mais la fatigue et le rhume n’aidant pas, mes neurones ont refusé de se rencontrer…



J’ai beaucoup aimé ce second volume, bien mieux que le précédent, sûrement parce que je m’attendais à ce genre de lecture, peut-être aussi parce que l’équipe que forment Wiglaf, Eric(a) et Angus est formée, relativement forte et établi dans leur amitié, lien que j’apprécie particulièrement.
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au début je ne l'aimais pas mais j'ai bien accrocher et ça ma beaucoup plus

Un roman jeunesse (édition folio cadet) très bien construit, très drôle, avec des personnages atypiques et bien construits.



Un roman qui amène à réfléchir en douceur sur les rôles masculins/féminins, la mode, la presse , la posture des adultes face aux jeunes, le bien et le mal sans aucun manichéisme, l'amitié, l'amour, et même la protection des animaux, ici les dragons.

A tous les courageux! Venez découvrir l'école des massacreurs de dragons.



Encore une histoire de dragons me direz-vous ? Et oui, et une qui ne se prend pas au sérieux en plus.

Quand le héros s'appelle Wiglaf et que son meilleur ami est un cochon, on est tout de suite dans le bain. Le pauvre est le souffre douleur de la famille. L'école est pour lui l'espoir ultime de changer de vie. A un détail près : Wiglaf déteste faire du mal aux animaux.



Mon édition a une jolie couverture moderne, pourtant les illustrations intérieures nous plongent dans l'ambiance moyenâgeuse avec un style gravure en noir et blanc. C'est un mélange saugrenu mais qui colle parfaitement au style.



On s'est payé des bonnes tranches de rigolades avec les blagues du livre. Un livre plein de bonne humeur pour les petits aventuriers.
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Wiglaf veut devenir un héros. Il va rentrer à l'Académie des massacreurs de dragons. Tout n'est pas gagné cependant car Wiglaf ne supporte pas d'écraser une araignée. Heureusement il va se faire des copains et il a une arme secrète plus efficace que les épées : il sait se servir de sa cervelle. Une parodie pleine d'humour des légendes médiévales.