L'école des massacreurs de dragons, tome 1 : Le nouvel élève

Un petit livre trouvé en bibliothèque, le premier d'une série avec un titre assez marrant. Une école de massacreurs de dragons, ça annonçait une histoire pour enfants plutôt drôle. En effet, même si ça commence pas très bien pour le jeune Wiglaf et son cochon, les aventures se succèdent quand il quitte son (horrible) famille. Les martyres font de bons héros. Bon, la gloire se fait doucement et avec beaucoup d'humour. Ma fille a beaucoup aimé les jeux de mots et les dragons qui ne sont pas très dangereux (pas gentils pour autant !)
Un bon moment pour détendre les zygomatiques des plus jeunes.

Ce bouquin m'a beaucoup fait pensé à Harold et les Dragons mais encore plus jeunesse, avec un humour également moins cynique donc plus abordable pour un jeune public ; c'est clairement un livre pour lecteur débutant, une plongée tout en douceur dans le monde de la fantasy.
Rapide à lire, du moins pour les adultes, le style d'écriture en est simple sans l'être trop. On n'a pas le temps de s'ennuyer, il se passe toujours quelque chose de drôle, burlesque ou simplement de l'action.
Les illustrations sont assez sombres, griffonnés de noir ce qui cadre bien avec l'histoire, les bonhommes ont des têtes bizarres et grotesques.

Wiglaf est jeune et naïf, difficile à croire qu'il est le second fils de la famille et pas le petit dernier ; pour Angus, on n'en sait pas grand chose au final, un gamin qui promet d'être aussi effacé qu'un Ron Weasley, à voir par la suite ; Eric est un vrai lèche-botte qui connaît tout sur tout, pour lui, je résumerai avec un mot : prévisible, j'éviterai les détails afin de ne pas spoiler la fin.

J'ai bien aimé cette lecture, elle n'était pas prise de tête, j'ai passé un bon moment, j'ai bien rigolé et n'ai pas été déçue.
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Wiglaf est le plus petit de sa grande fratrie ; il est aussi le seul rouquin. Sa famille lui fait exécuter toutes les corvées, sans ménagement. Gentil, de bonne volonté et ami des animaux, il n'a jamais songé à se plaindre de son sort. Un ménestrel de passage lui a bien prédit un avenir héroïque.. Avant de s'évaporer.

Un jour, lors d'une sortie familiale à la foire, Wiglaf lit une affiche faisant de la pub pour une École des Massacreurs de Dragons. S'il pouvait l'intégrer, il deviendrait le héros de la famille.. Dès le lendemain, il part avec pour compagnie Daisy, sa truie de compagnie, et une épée magique nommée Droitauoeur.

Un mélange de Dragons, de Cosette, du Petit Poucet et de Harry Potter, mais dans un univers purement médiéval et en version "light", accessible aux plus jeunes.

J'étais passée à côté de cette série fantasy pour enfants, j'imagine qu'elle a dû avoir un certain succès à l'époque ! Les illustrations et la carte de départ rendent bien la tonalité comique de l'histoire. Ce n'est pas du tout triste !
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Wiglaf, qui ne ferait pas de mal à une mouche, veut devenir un héros légendaire. Ce qui le changerait de sa vie d'esclave au milieu d'une famille nombreuse violente et sale. Pour cela, en compagnie de Daisy, son cochon et meilleur ami, il part à l'école des massacreurs de dragons. Un bon petit roman pour débuter dans la fantasy. Comme c'est pas trop ma tasse de thé, ça m'allait bien. De la bonne humeur, des blagues, des situations burlesques, dans une ambiance moyenâgeuse : tout est là pour passer un bon moment.

Wiglaf veut devenir un héros. Il va rentrer à l'Académie des massacreurs de dragons. Tout n'est pas gagné cependant car Wiglaf ne supporte pas d'écraser une araignée. Heureusement il va se faire des copains et il a une arme secrète plus efficace que les épées : il sait se servir de sa cervelle. Une parodie pleine d'humour des légendes médiévales.