En dépit du passage de la loi sur l’enfance, qui permettait de poursuivre un parent pour négligence ou cruauté et même d’ôter un enfant à sa famille, nombre de magistrats se montraient réticents à intervenir sur de telles questions. Les châtiments corporels étaient chose courante et l’opinion générale restait que l’autorité d’un parent sur son enfant était quasi sacro-sainte.