Kyosuke Motomi

Manga en 2 tomes qui ce lit rapidement.

Un manga adorable j'ai bien aimer l'histoire était original

Cherchant un nouveau manga à lire, je me suis décidé à acheter Beast Master, qui me faisait de l'oeil depuis un bon moment déjà. Ce manga comporte seulement deux tomes, ce qui est vraiment dommage d'ailleurs... Et je n'ai pas traîner pour m'acheter le second tome.



Ne vous fiez pas au pseudo masculin du mangaka, car il s'agit bel et bien d'une femme ! Kyousuke Motomi nous a concocté un bon petit shojo.



En le parcourant dès les premières pages, les dessins, les personnages déjantés, de même que l'histoire ainsi que les expressions vraiment très drôle des protagonistes, tout ceci me disaient fortement quelque chose. Normal, puisque c'est elle qui est la créatrice du manga"Dengeki Daisy" (prochaine chronique... ?!) et que Beast Master a été écrit avant ce dernier.



J'étais d'autant plus impatiente de plonger dans l'univers de Beast Master.



Nous voici donc avec nos deux héros : Yuiko et Léo.



Leur rencontre arrive assez vite, avec une entrée fracassante de Léo dans la vie de la jolie Yuiko. On peut dire que Léo porte très bien son prénom car c'est un vrai petit lion, avec un côté innocent tel un enfant. Yuiko, qui d'ordinaire n'arrive jamais à s'approcher des animaux, alors qu'elle les adores, va pouvoir s'occuper de son petit sauvage à elle.



Nos deux héros vont découvrir le monde de chacun, se rapprocher de plus en plus... On va apprendre pourquoi Léo est un adolescent sauvage et lui entrevoir un côté "peluche", une fois que l'on apprend à bien le connaître.



Nous ferons connaissance avec le passé sauvageon du héros, dont la rencontre avec son père ainsi que de son protecteur...



C'est vraiment dommage que le manga s'arrête au bout de deux tomes car j'aurai bien apprécié une petite suite. Cependant, l'histoire est bien ficelé et il ne manque rien. On s'attache facilement aux personnages, les principaux comme les secondaires.



Je vous le conseille fortement, ce shojo sort un peu du lot et si vous avez déjà lu et adoré Dengeki Daisy et que vous aimez les mangas pleins d'humour et d'amour, alors n'hésitez plus une seconde car Beast Master est fait pour vous !

J’ai cette saga dans ma pile à lire depuis un bon petit moment déjà, mais Kyousuke Motomi ne m’est pas inconnu. J’ai pu la découvrir avec sa série Beast Master (appréciée mais sans plus) mais aussi avec QQ Sweeper, que j’avais plutôt bien aimé et dont la suite me donne bien envie. Il me tardait de découvrir cette série qui a fait son succès et qui l’a faite découvrir dans notre pays !

Et voilà chose faites, le premier tome a enfin été lu ! Pour ce premier tome c’est plutôt prometteur.



On découvre une jeune fille pauvre, orpheline, victime des brimades de ses camarades de classe avec son ami pour la simple raison qu’ils sont pauvres. Cette dernière ne se laisse pas intimider pour autant, et est prête à se défendre ainsi que son ami. Bien évidemment elle peut compter sur quelques camarades pour la soutenir.

Mais Teru, elle peut compter sur une personne en particulier, qui l’aide depuis deux ans, et depuis la mort de son grand frère. Une personne qui répond au nom de Daisy, elle ne l’a jamais vu et communique avec lui par mail. Elle peut compter sur elle durant tout ce tome, puisqu’elle va faire appel à lui à plusieurs reprises pour l’aider.

Un jour, alors qu’elle se fait encore une fois humiliée, elle en vient à briser une vitre. Pour payer cette vitre, elle doit travailler pour le gardien du lycée, répondant au nom de Kurosaki.



Si ces deux sont comme chien et chat, c’est pour une bonne raison, Kurosaki connaît très bien Teru, je vous laisse découvrir ça dans ce tome 1. C’est un personnage que l’on pourrait dire plutôt classique, un homme froid et distant en surface alors qu’au fond c’est un homme très gentil et très attentionné envers Teru. Qui est prêt à l’aider et à la protéger, qui a même des sentiments pour elle, mais qui se refuse à y croire et à se les avouer pour la protéger. Mais surtout parce qu’il lui cache quelque chose d’assez important que l’on apprend à moitié. Cela m’intrigue et je me demande ce qui a bien pu se passer.

Dans ce tome on pose les bases, on pose l’univers, et les ennuis commencent pour Teru. Elle est prête à aider les personnes pour les sortir de mauvaises passes, mais elle ne fait pas assez attention et elle se met en danger. Dans ce tome, elle veut aider une camarade de classe qui s’est laissée complètement avoir par un homme. Cette même camarade qui se laisse aider par Teru alors qu’elle se moquait de sa situation. Avec l’apparition d’un nouveau personnage qui en veut à notre protagonistes indirectement parce qu’il souhaite quelque chose de son frère. Mais Kurosaki veille, bien qu’il soit limité…



Un premier tome introductif mais qui bouge pas mal, des personnages assez simples et classiques mais qui fonctionnent, j’ai hâte de voir la suite. Et comment va évoluer cette histoire.
Lien : https://takeabreakavecsachik..

Meilleur manga de l'année!!!

nostalgie quand tu nous tiens !

je me rappelle encore de ce manga, les dessin son jolie, personnage attachant et l'histoire et pas mal !

je pense peut-être me le recommencer si je trouve les mangas !

Go partir à leur recherche !

Je conseille ce manga

J’étais plus que sceptique en ouvrant ce premier tome parce que je craignais de tomber une énième histoire à l’eau de rose entre une jeune fille fleur bleue et son mystérieux sauveur ténébreux.



Et bien j’ai été très agréablement surprise.

Par Teru d’abord, qui est loin d’être une jeune fille en détresse. Certes, les malheurs semblent s’abattre sur elle mais elle ne se laisse pas décourager et se défend du mieux qu’elle peut.

Kurusaki lui aussi cache une profondeur qui en fait un personnage loin d’être lisse.



L’histoire en elle même recèle quelques mystères.

Une romance finira sans aucun doute par ressortir à un moment ou à un autre mais en attendant, l’accent est mis sur les recherches que faisaient le frère de Teru et sur les codes informatiques.

Cette storyline est sans doute loin d’être anodine et j’attends avec impatience d’en apprendre plus.
Lien : https://yodabor.wordpress.co..

Quand j'avais écrit adorer "Takane et Hana", on m'avait conseillé de lire "Dengeki Daisy". Il me semble même que cette série est la préférée de @kae_morrigan . Mais j'ai été un peu refroidie par la couverture et les dessins, au premier abord. Toutefois, puisque @kazefrance permet de découvrir gratuitement les trois premiers volumes de la série, téléchargeables sur n'importe quelle plateforme en numérique, j'en ai profité et je ne l'ai pas regretté. On est effectivement dans un shojo comme je les aime, avec une héroïne qui a du répondant, qui n'est pas un cœur d'artichaut prête à tomber dans les bras du premier bellâtre venu. Autre point fort : un scénario qui ne néglige pas la romance, mais n'en fait qu'un ingrédient parmi d'autres. L'humour est très présent, aussi bien dans les répliques que dans les mimiques des personnages. Enfin, le gardien du lycée est un personnage vraiment original, qui fait travailler l'héroïne comme son larbin tout en veillant sur elle, un vrai bad boy au grand cœur qui pense "je t'aime" avant de le dire. Bref, un shojo pour adultes et ado qui a tout pour plaire.


Lien : https://www.instagram.com/fo..

Depuis la mort de son frère Teru est seule. Elle n'a pour seul soutien que Daisy, un ami de son frère, mystérieux mais attentif à ses besoins. Il fait tout pour la protéger comme un grand-frère.

Parallèlement, Teru, étudiante sans le sou se retrouve larbin du nouveau gardien du Lycée, Kurosaki, un jeune homme beau mais odieux et égoiste.



J'ai beaucoup aimé ce premier tome ! Teru est très drôle mais également touchante. Kurosaki passe son temps à l'appeler "idiote" et Teru en retour lui souhaite toujours de finir chauve. leur relation est très distrayante !

Même si après seulement quelques pages le lecteur découvre l’identité de Daisy, il est plaisant et parfois frustrant (dans le bon sens) de voir que Teru, elle s’en sait rien. Si ce shojo se démarque des autres est parce qu’il ne tombe pas facilement dans les clichés. Teru n’est pas la demoiselle en détresse qui a besoin qu’on l’aide à chaque instant, ni celle qui s’amourache du « beau gosse » du lycée, qui se trouve être Kurosaki. Non, la jeune fille a beau être jeune elle n’en est pas moins combative, indépendante et ayant une perpétuelle confiance en l’avenir. Le fait que l’on sache très vite qui est Daisy ne s’avère pas être une déception, puisque cela permet de donner une dose de piquant au récit, ainsi que des moments très drôles. Souvent on se demande si Teru ne souffre pas du syndrome dit de « Lois Lane »… Au premier abord Kurosaki est un jeune homme sadique et plein de sarcasmes qui semble ne vouloir passer ses journées qu’à jouer sur son ordinateur. Mais alors que l’on pense qu’il est irrécupérable et un brin pervers, on découvre en lui une sensibilité et bienveillance, qui va très souvent dérouter notre petite Teru.

Parue dans le BetsuComi de Shôgakukan en 2007, Dengeki Daisy est un shôjo original à l'intrigue surprenante et aux nombreuses scènes humoristiques. La série allie élégamment drôleries et nostalgie pour offrir une lecture décapante.



Cette série est la première de Kyousuke Motomi à arriver jusqu'à chez nous. Une série qui inscrit déjà le mangaka dans le cercle très fermé des auteurs cultes. C'est aussi sa plus longue. Adepte des titres courts, Kyousuke Motomi s'en sort avec brio.



En France, la série est publiée depuis 2010 chez Kazé Manga. A noter que le neuvième tome s'est décliné dans une version collector incluant marque-page et cartes postales.



Rien ne laisse présager, à la lecture du résumé, la qualité véritable de Dengeki Daisy. Shôjo à priori standard, on se rend vite compte, qu'entre nos mains, se tient une vraie petite perle….



On ne sait pas grand chose de Kyousuke Motomi, mais l'auteur use en tout cas, d'un savant mélange entre humour et sentiment pour offrir à ses lecteurs une histoire attachante.



Ici pas de personnages gnan-gnan mais des personnalités fortes et surprenantes qui ne laissent pas de marbres. Si l'héroïne, Teru attirera très facilement la sympathie, c'est sans aucun doute Daisy qui remportera le plus de suffrage. Sous ces airs de mauvais garçon se cache un jeune !homme tendre et prêt à tout pour celle qu'il aime, avec une pointe de mystère. En effet, Daisy, anti-héros par excellence n'est pas sans défaut et pas aussi gentil que l'on pourrait le croire. Mais c'est ce coté à double tranchant que l'on apprécie tant chez ce personnage.



L'alchimie entre le couple vedette du manga fera fondre les lecteurs avides d'histoires fleurs bleues modernes. Mais attention! Dengeki Daisyn'est pas du tout cul-cul! Kyousuke Motomi nous pond un titre excellent et captivant que l'on ne lâche que très difficilement. En effet, impossible de résister une fois la dernière page tournée, les semi-révélations nourrissent une forte envie de lire la suite!



En plus d'un très bon scénario, le trait du mangaka est un vrai délice pour les yeux. Utilisant les codes du shôjo avec talent, le graphisme fin, dynamique et fluide rend la lecture passionnante!



Kazé multiplie les titres forts et offre un catalogue éclectique que l'on apprécie fortement. Dengeki Daisy est un titre que l'on surveillera de très près.
Lien : https://parole2libraire.word..

- Lecture finie -



Je crois bien que c'est le premier shôjo que je lis. MA TOUTE PREMIÈRE FOIS. Alors pour une première fois c'est une réussite. C'est mimi tout plein.

Teru est une orpheline. Elle a perdu son frère qui était son seul parent, il y a deux ans. La jeune fille n'est pourtant pas seule. Elle a créé à la mort de son frère une amitié ambiguë avec Daisy. Un personnage secret qui vit dans l'ombre mais veille sur elle. Elle le met sur un piédestal.

C'est une jeune fille pauvre qui vit un peu exclue du fait de ses origines modestes. Elle est contrainte après avoir cassé une fenêtre de travailler pour l'homme à tout faire du lycée pour rembourser sa dette. Il s'agit d'un beau jeune homme, Kurosaki qui fait d'elle son larbin. Pourtant malgré ses airs d'ours mal léché, on apprend qu'il a pas mal de secrets à cacher.

J'ai a-do-ré. C'est un manga sans prétention (mais bien fichu) qui se lit tout seul et on tombe sous le charme de ses deux protagonistes.

Si je développe, je dévoilerai forcément un peu de l'intrigue et vous m'en voudriez (et vous auriez raison). Disons que si ce genre vous intéresse, alors je vous le conseille vivement. Je suis tombée sous le charme de ce duo improbable et de cette relation faite de faux-semblant. Le personnage masculin est torturé comme je les aime et prêt à tous les sacrifices pour celle qu'il ne peut avoir...Voili voilou, il n'en faut pas plus (sinon une bonne dose d'humour en plus) pour que je sois sous le charme.









- Bref -



Une découverte que je vous conseille et je vais me jeter sur la série malgré son importance (16 tomes).


Lien : http://lachroniquedespassion..

Depuis le décès de son frère, le seul soutien de Teru est Daisy, un mystérieux individu avec lequel elle ne communique que par mail… Du soutien, Teru en a grand besoin, surtout depuis que Kurosaki, le gardien de son lycée, l'utilise comme larbin ! Mais sous ses airs brusques et bourrus, Kurosaki semble cacher une autre personnalité, plus réservée et douce. Y aurait-il une possibilité pour qu'il soit le fameux Daisy ? Teru a bien du mal à y croire...



Dengeki Daisy est une série à la croisée des genres qui oscille entre comédie, thriller et romance. Le mélange est plus que réussi car on est tout de suite conquis par l'histoire et ses personnages. Cette série fait partie de mes préférées. Tantôt comique, tantôt dramatique, elle nous fait passer du rire aux larmes avec beaucoup d'ingéniosité. Je la relis régulièrement et avec toujours autant de plaisir. Il faut dire que c'est une des premières séries mangas que j'ai lu, alors elle tient une place particulière dans mon cœur de lectrice !

Un très bon manga et un bon shojo!

Le résumé m'avait intrigué et puis je me suis dis pourquoi pas (je l'ai emprunté à la médiathèque alors j'avais rien à perdre!). Dès le début j'ai été prise dans l'histoire. Teru a cassé une vitre de son établissement et comme punition va devoir devenir le "larbin" (=l'employé) du gardien de l'école Kurosaki (c'est son nom de famille).

Elle écrit aussi avec un certain Daisy dont elle n'a que l'e-mail et la seule personne qu'elle peut contacter depuis la mort de son frère (c'est celui-ci sur son lit de mort qui lui a donné ce téléphone avec cet email).

On sent que Teru est une fille bien, elle est pauvre et a une bourse, elle a des valeurs, des amies. Elle est gentille, travailleuse mais elle est surtout marrante.

Kurosaki, lui il fume (ce qui le rend très stylé) et il lui aboie des ordres dessus… on dirait un vrai tyran mais quand elle va etre en danger ou aura besoin de son aide, il sera là et j'ai trouvé ça très mignon!



J'aime les deux protagonistes et c'est pour ça que je vais lire la suite! (Mais je ne mettrais pas de critique pour chacun des tomes vu qu'il y en a 16! ;)

J'ai passé un bon moment avec cette lecture et je la reconseille.

Gé-nial n_n une histoire vraiment mignonne

La jeune héroïne est une orpheline ; elle vient de perdre le seul membre de la famille qui lui restait, son frère, qui lui a laissé, en guise de legs, un téléphone portable relié à un mystérieux "Daisy" chargé de venir en aide à la jeune fille quand ça ne va pas.

Ce shojo renferme tout ce que j'aime.

Commençons par l'héroïne : c’est une battante, qui essaie de se débrouiller seule, malgré les attaques incessantes de ces camarades d’école, qui s’en prennent à la boursière qu’elle est. Et elle a cette pudeur qui la pousse à cacher ses états d’âme, à ne pas se plaindre.

On découvre rapidement qui est Daisy ; le suspense ne repose pas du tout sur son identité. Non, ce qui est vraiment mystérieux, c’est le caractère de ce garçon qui est comme scindé en deux. En tant que Daisy, il est tout sucre ; ses paroles, envoyées uniquement par textos, sont compréhensives, réconfortantes, enveloppantes, à l’image du frère protecteur que l’héroïne a perdu. En tant que concierge rebelle du lycée, il est sadique et pervers, égratignant l’image du prince charmant (et au passage celle de la princesse). Ce comportement qui introduit d’ailleurs une touche d’humour bienvenue.

Qu’a-t-il donc en tête, ce garçon, pour avoir un comportement aussi paradoxal ? Qu’est-ce qui le retient ? Quelles étaient ses relations avec le frère de l’héroïne ? Pourquoi a-t-il accepté ce rôle de Daisy ?

L’intrigue repose donc sur le principe de l’identité secrète (On n’est pas loin du thème du super-héros à la double identité) sur une communication difficile, maladroite mais pavée de bonnes intentions. Les héros ne parlent jamais de l’essentiel, mais leurs gestes, leurs regards, leurs attentions disent tout.

Pauvre et orpheline, Teru est sans cesse chahutée et moquée par les élèves plus riches de son lycée. Mais elle ne se laisse pas aller à la déprime pour autant. Elle sait qu'elle peut toujours compter sur sa petite bande d'amis et sur Daisy, son ami virtuel qui communique avec elle par mails sur le portable que son frère lui a confié avant de mourir. Fidèle et prévenant, il sait toujours trouver les mots pour la réconforter en cas de coup dur.

Et un coup dur, elle en a justement un le jour où elle brise accidentellement une des vitres du lycée. Dans l'impossibilité de payer pour les réparations, Teru est obligée d'aider Kurosaki, le gardien, dans ses tâches d'entretien et de jardinage.



Voilà un shôjô qui parle directement à l'adolescente midinette qui sommeille en moi!

Teru est une héroïne gentille (naïve?), dynamique et pleine de joie de vivre qui confie ses joies et ses peines à son mystérieux correspondant. Kurosaki quant à lui est plus distant, blasé mais terriblement beau. On comprend très vite qu'il n'est autre que le Daisy missionné par le frère de Teru pour veiller sur la jeune fille. Il s'acquitte de cette tâche avec beaucoup de zèle même si, pour une raison qu'on ignore encore, il ne souhaite pas se faire connaitre. Pas de doute possible, ces deux-là vont finir ensemble mais ils devront d'abord affronter certaines difficultés. Quoi qu'il en soit, on a envie de connaitre la suite de leurs aventures et de voir leur relation évoluer.

Un premier tome très réussi qui installe rapidement ses personnages et les situations et qui conduit naturellement et avec impatience vers le deuxième tome.

J'avoue avoir été très emballée par l'intrigue avec ce mystérieux Daisy qui est la présence bienfaitrice tapie dans l'ombre. Ce moyen d'échanger uniquement par mail m'a d'autant plus intrigué qu'on sent une relation de frère et sœur qui s'instaure au travers des mots réparateurs. Car Teru est encore très marquée par la mort de ses parents, elle se sait pauvre et seule, et a du mal à faire face aux moqueries quotidiennes dont elle est l'objet au lycée. D'autant que ce fameux Hurosaki, devenu maître en l'art de soumettre ces boucs émissaires attitrés, s'acharne à lui mener la vie dure.



Un premier volume que j'ai emprunté car il figurait dans les nouveautés. L'intrigue est assez sympathique même s'il semble évident que le mal est représenté par les "filles à papa" et le bien par les petites "Princesse Sarah" en puissance. J'ai hâte que la suite soit en bibliothèque pour que je puisse savoir quelles sont les motivations de Hurosaki, quels sont les griefs de Teru et comment le gentleman Daisy ("Dengeki" veut dire "prince charmant") va intervenir et se rendre d'autant plus indispensable.

Oh et puis c'est indéniable qu'on ne peut qu'émettre de grandes hypothèses sur l'identité du prince masqué. Qui pourrait bien entretenir le mystère? Ne va-t-il pas y avoir de grands rebondissements pour que cette amitié fraternelle dépasse les frontières du virtuel?

Il est rare que je lise un shojo qui sort du lot. Il faut bien essayer plusieurs genres différents pour se faire une idée. C'est ce qu'il y a de bien dans le genre du manga qui permet toute cette diversité. On sera véritablement loin du niaiseux dégoulinant de bons sentiments.



Là nous avons une histoire intrigante avec des personnages vraiment attachants notamment l'héroïne entre force et faiblesse. On est véritablement pris par ce côté obscur de ce manga qui semble allier émotion et suspense. Finalement, cela peut toucher des lecteurs au-delà des fans du genre !

C'est un petit coup de cœur pour les illustrations de la jaquette qui m'a fait ouvrir ce manga.

L'histoire est bien plus complexe que dans l'ensemble des shojos une histoire d'amour, de hacker, de crime et surtout l'histoire de Teru.

La jeune fille sans famille depuis la perte de son grand frère vie avec de faibles revenues ce qui lui vaux les brimades de ses camarades riches.

Cependant Teru ne se laisse pas démoraliser peu avant de mourir son frère lui a promis qu'elle aurait un bienfaiteur qui veillerais sur elle et à qui elle pourrait confier toutes ses peines et ses joies par le bien d'un téléphone "Daisy".C'est donc Kurosaki le gardien du lycée mais surtout l'un des meilleur amis du grand frère de Teru qui s'est vu charger de se rôle.Il faut savoir que gardien de lycée un aussi un personnage qu'il joue pour surveiller Teru de plus près il est en effet un hacker hors du commun pour ne pas dire le meilleur.Bien entendu Teru n'est pas au courant de la triple identité de Kurosaki.

Et tout cela n'est que le début de ce manga !

Grosse réussite. Le personnage de Daisy m'a très agréablement surpris avec son attachement de loin et son détachement de près pour des raisons qui vont se rapprocher. L'idée qu'il marche sur les rebords de la loi pour atteindre ses objectifs me plaît aussi. Teru est bien réussie aussi par sa force d'esprit !