Citations de Kyosuke Motomi (159)
"Si mes histoires pouvez vous toucher, vous faire rire, vous faire oublier les choses malheureuses, ou même vous donner ce sentiment de 'Bon travail', alors je serais vraiment super heureuse !"
Question:
Où suis-je?
3 possibilités :
1. Quelque chose m'a énervée alors je me venge dans un club d'hôtes.
2. Je suis derrière une personne à qui je souhaite de finir chauve.
3. Je suis au Paraguay.
Teru...
Mieux vaut que tu ne saches pas où je suis et ce que je fais.
Je suis parti sans pouvoir te dire ce que j'avais à te dire...
Mais c'est mon seul moyen de te protéger. Voilà l'homme que je suis.
Tu ferais mieux de m'oublier.
S'il-te-plait, déteste-moi.
Merci d'avoir fait semblant d'ignorer mon identité.
Merci d'avoir été là, à sourire à mes côtés.
Merci d'avoir supporté gentiment mon mauvais caractère.
Et puis... Ces fleurs appelées Daisy que tu aimes tant... Moi aussi, je les trouvais jolies, mais... C'est toi... À mes côtés... Que je trouvais la plus jolie.
"Si tes résultats baissent aux prochains examens semestriels, ce sera à cause de ce blond...
-Très bien! Mes résultas ne baisseront pas, je vous le promets ! J'otiendrais la meilleure note de la classe! Et si jamais je n'obtiens pas la première place...Ce blond de Kurosaki...
(...)
-M. Kurosaki devra se teindre en brun?
-Oui, si Teru n'est pas première.
-J'ai pas pu dire "se raser la tête".
-C'est pas le problème. Kurosaki n'a pas donné son accord je suppose.
-M...Mais c'est bon! Tant que je suis première, il n'y aura aucun problème!
-T'es fichue!"
Quoi qu’il arrive, je te protègerai !
"Teru, t'es là? Est-ce que j'ai pu t'aider? Sache que je veille sur toi à chaque instant!" # Daisy
Teru : Quoi ? Mais on est dans la vraie vie, là ! Sois chauve, Kurosaki !
Kurosaki : Tais-toi et encourage-moi donc ! Si tu me grondes, je vais bouder et on mourra ! C'est ce que tu veux ?
Teru : Courage, Ô beau Kurosaki !
Kurosaki : Teru...
Teru : Sur ce, j'y vais, Kurosaki !
Kurosaki : Ouais, je compte sur toi.
Teru : Kurosaki...
Kurosaki : Hm ?
Teru : On doit à tout prix survivre pour se revoir !
Kurosaki : Evidemment ! Je t'ai dit que je te protégerais !
Homme du ministère : Tu comptes réellement arrêter le testament de M... Sachant que tu mourras si tu échoues ?
Kurosaki : Ça me fait pas peur. Rien n'est plus important... Que de protéger Teru !
Kurosaki : Teru est à moi ! Je ne te permets pas de parler d'elle comme ça !
Teru : Mais moi aussi, j'ai un souhait. À ton retour aussi, je veux que tu m'embrasses.
- Ooh Kurosaki! Je suis heureuse de te revoir!
- J'ai comme l'impression que l'heure n'est pas au badinage!!
- Exact! On jouera les amoureux une fois sauvés!
"Être fort", ça ne veut pas dire hésiter. Par contre, avoir le courage de douter et de s'inquiéter en se demandant sans cesse ce qui est juste... Ça, c'est la véritable force.
On croit savourer la vie mais parfois, on oublie que ce bonheur irremplaçable est si près.
Eh oui !!! C'est moi, Teru Kurebayashi, celle qui se rétablit à la vitesse de la repousse des poils indésirables en été !!!
(mail de Daisy à Teru)
Nous avons tous des jours où rien ne va comme on le voudrait. Ne te tracasse pas comme ça. Ces jours de pluie que tu détestes tant... moi, je les adore. Je vais te dire pourquoi. Tu te souviens de notre première discussion ? C'était un jour de pluie comme celui-là. Tu m'as dit que tu te sentais seule. C'était le premier mail que tu m'envoyais. C'était sûrement égoïste de ma part d'être heureux que tu m'écrives alors que tu étais triste... Mais j'étais heureux que tu me fasses enfin confiance. Les mails que tu m'envoies les jours de pluie révèlent tes faiblesses. Tu me confies des choses que tu caches le reste du temps. Dans ces moments-là je te chéris du fond du cœur.
Il y a des choses qu'il ne faut pas chercher à savoir. Le seul fait d'aimer ne peut pas tout pardonner.
Nous avons sans cesse des hésitations ainsi que des faiblesses. Mais nous avons la volonté et la foi pour compenser.
Où que tu ailles je veux être ta force. Je ne connais pas la bonne solution alors nous choisirons notre chemin à tâtons comme nous l'avons toujours fait jusqu'à présent.
Tout le monde, à un moment de sa vie doit se débrouiller seul.