Né(e) à : Meaux , 2001
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Biographie :
Lara Kasri t née en 2000
à Meaux
À tout juste dix-huit ans, Lara Kasri, auteure depuis l’enfance, a publié deux ouvrages aux éditions Sydney Laurent.
Désormais étudiante à Sciences Po Paris, elle écrit DIE alors qu’elle n’a que seize ans et ne cesse, depuis, d’imaginer de nombreux scénarios, se donnant même le défi de diversifier les genres et d’écrire pour chaque genre possible une histoire.
Elle a déjà quatre romans à son actif, dont un thriller « Die » et un roman fantastique « Le Dernier Salut », parus aux éditions Sydney Laurent.
Lara Kasri t née en 2000
à Meaux
À tout juste dix-huit ans, Lara Kasri, auteure depuis l’enfance, a publié deux ouvrages aux éditions Sydney Laurent.
Désormais étudiante à Sciences Po Paris, elle écrit DIE alors qu’elle n’a que seize ans et ne cesse, depuis, d’imaginer de nombreux scénarios, se donnant même le défi de diversifier les genres et d’écrire pour chaque genre possible une histoire.
Elle a déjà quatre romans à son actif, dont un thriller « Die » et un roman fantastique « Le Dernier Salut », parus aux éditions Sydney Laurent.
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Citations et extraits (35)
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Chaque fragment, aussi abîmé soit-il, apporte sa part de beauté. Tu es une mosaïque, Fiona.
Il accéléra et nous pouffämes lorsque les pneus s'enfoncerent dans l'eau boueuse et sale qui éclaboussa le couple. Je beuglai de victoire en m’apercevant que la robe hors de pris que j’avais offerte à Monica était maculée de fange, irrécupérable. La concernée ségosilla, les yeux exorbités, et Andrew nous insulta. Pour toute réponse, Shane fit marche arrière a toute vitesse et roula une seconde fois dans la courbe, ce qui les aspergea derechef. Je ris plus fort. « prend ça, petite pimbêche »!
Nouvel élément pris en compte dans la base de données. Neuf Juillet deux-mille-dix-sept. Onze heures trois.
- 9 Juillet 2017 ? Mais c’est aujourd’hui !
A l’écran, le SDF répugnant. Je lui offre le panier, à distance raisonnable.
Une bonne action a été volontairement effectuée le neuf Juillet deux-mille-dix-sept. Deux minutes avant heure du décès. Ré-effectuation du calcul préliminaire.
- 9 Juillet 2017 ? Mais c’est aujourd’hui !
A l’écran, le SDF répugnant. Je lui offre le panier, à distance raisonnable.
Une bonne action a été volontairement effectuée le neuf Juillet deux-mille-dix-sept. Deux minutes avant heure du décès. Ré-effectuation du calcul préliminaire.
Sur le tableau numérique, deux portes apparaissent. Elles sont similaires : grandes, larges, en bois. En grinçant, elles s’ouvrent. L’une donne sur une zone si lumineuse et brillante qu’elle m’aveugle, l’autre est plongée dans une obscurité si totale et glaciale que j’en frissonne.
Porte numéro une : Paradis. Porte numéro deux : Enfer. Le jugement dernier a été effectué. Veuillez patientez pour l’analyse des dernières données.
Je recule de deux pas. Le jugement dernier ?
C’est impossible. N’est-ce pas ? C’est un cauchemar. Réveille-toi, Hugo. Réveille-toi !
Porte numéro une : Paradis. Porte numéro deux : Enfer. Le jugement dernier a été effectué. Veuillez patientez pour l’analyse des dernières données.
Je recule de deux pas. Le jugement dernier ?
C’est impossible. N’est-ce pas ? C’est un cauchemar. Réveille-toi, Hugo. Réveille-toi !
Un avion survolant les cieux, prêt à l’atterrissage. Le nom de la compagnie de mon père contraste avec la peinture blanche. A l’aéroport, des journalistes nous attendent avec excitation. « Monsieur Lion ! Monsieur Lion Junior ! Comment s’est passé ce voyage humanitaire ? C’est déjà le troisième cette année ! » Sourire plastique de notre part. Je suis épuisé, les yeux cernés. Le manque de confort des lointains pays Africains est une rude épreuve.
L’image s’évapore pour se transformer en une deuxième.
L’image s’évapore pour se transformer en une deuxième.
entant vainement de maîtriser la terreur qui incendiait mes veines, je m’avançais vers la sortie. Mon cellulaire ne se trouvait qu’à quelques mètres. En étant assez prompte, je pourrais le récupérer.
Respire, Fiona.
Par terre, la preuve que je n’avais pas rêvée. Une empreinte boueuse de chaussure. Grande chaussure, donc l’intrus devait l’être également. Ne pas paniquer. Ne surtout pas céder à la panique.
Crac. Cela venait de ma chambre. Au sol, les marques suivaient ce chemin. Il était là.
Respire, Fiona.
Par terre, la preuve que je n’avais pas rêvée. Une empreinte boueuse de chaussure. Grande chaussure, donc l’intrus devait l’être également. Ne pas paniquer. Ne surtout pas céder à la panique.
Crac. Cela venait de ma chambre. Au sol, les marques suivaient ce chemin. Il était là.
On a tous des facettes sombres ici. Reid, les recrues, moi… Mais toi aussi. Peut-être toi plus que les autres, qui sait ? On ressent tous cette violence noire, celle qui nous écrase les tripes et nous force à commettre l’irréparable. Parfois c’est par sadisme, d’autres fois par vengeance. Ce que je veux dire, c’est que tu n’as pas à rester bloquée sur ce que tu as fait car personne ne te jugera ici. Je suis sûre que certains ont fait bien pire.
Je déglutis difficilement en observant mon propre reflet dans le miroir. Le plancher craqua et je me raidis.
Il y avait quelqu’un d’autre dans la maison.
Mon pouls s’emballa et je cherchai du regard une quelconque arme. Brosses, serviettes, coton-tige…
Mon téléphone ! Où était-il ? La police. Il fallait que j’appelle la police…
Sauf que je l’avais oublié dans ma chambre.
Bon sang !
Il y avait quelqu’un d’autre dans la maison.
Mon pouls s’emballa et je cherchai du regard une quelconque arme. Brosses, serviettes, coton-tige…
Mon téléphone ! Où était-il ? La police. Il fallait que j’appelle la police…
Sauf que je l’avais oublié dans ma chambre.
Bon sang !
- Votre total de bonnes actions est inférieur au total de vos mauvaises actions. Pourcentage de bonnes actions : 40%. Pourcentage de mauvaises actions : 60%. Nombres d’individus touchés par vos mauvaises actions : supérieur à cent.
Je bats des paupières, stupéfait. Pardon ? Comment…
Je bats des paupières, stupéfait. Pardon ? Comment…
Les monstres ne dorment pas sous votre lit, ils reposent dans votre lit, à l’intérieur de votre lit. Nietzsche n’a pas tort. A force de longuement plonger son regard dans de sombres abysses, l’abysse finit par ancrer son regard en vous.
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