George Sand, elle, aura le loisir et le plaisir de se voir vieillir et de ne jamais se plaindre. Dans sa correspondance elle décrit minutieusement les conséquences de cette évolution ; "On ne revient pas, on passe aussi, on est l'eau qui jase et qui coule. N'est-ce pas assez coulé, assez jasé, quand on a reflété de belles choses et qu'on les a aimées et chantées ? On s'ennuierait à continuer, on s'effraierait de recommencer. On vieillit seul, triste et recueilli mais tranquille, toujours tranquille.