Nationalité : France
Né(e) à : Paris , 1972
Né(e) à : Paris , 1972
Biographie :
Laurence Fugier est née en 1972 à Paris. Enfant, elle a résidé pendant deux ans aux Etats-Unis. Après sa maîtrise de mathématiques appliquées, elle a enseigné pendant sept ans, en Turquie, le français langue étrangère et les mathématiques. A son retour en France, elle est devenue professeur des écoles et a repris des études pour obtenir un master en histoire et connaissance des civilisations. Depuis 2002, elle travaille en école élémentaire dans la banlieue parisienne.
Passionnée par les langues, les voyages et les cultures étrangères, elle apprécie tout particulièrement de partager ses découvertes et de transmettre l'envie de s'ouvrir aux autres.
Laurence Fugier est née en 1972 à Paris. Enfant, elle a résidé pendant deux ans aux Etats-Unis. Après sa maîtrise de mathématiques appliquées, elle a enseigné pendant sept ans, en Turquie, le français langue étrangère et les mathématiques. A son retour en France, elle est devenue professeur des écoles et a repris des études pour obtenir un master en histoire et connaissance des civilisations. Depuis 2002, elle travaille en école élémentaire dans la banlieue parisienne.
Passionnée par les langues, les voyages et les cultures étrangères, elle apprécie tout particulièrement de partager ses découvertes et de transmettre l'envie de s'ouvrir aux autres.
Source : decitre
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Citations et extraits (9)
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Or l'aubergiste n'a plus qu'un seul poisson à servir.
Hodja propose aussitôt un partage à sa manière :
- Oiselier, je crois que tu as encore besoin d'apprendre à réfléchir. Je te laisse donc la tête du poisson ; elle abrite le cerveau. Moi, je me contenterai du reste... L'oiselier se laisse convaincre.
Hodja propose aussitôt un partage à sa manière :
- Oiselier, je crois que tu as encore besoin d'apprendre à réfléchir. Je te laisse donc la tête du poisson ; elle abrite le cerveau. Moi, je me contenterai du reste... L'oiselier se laisse convaincre.
p.26.
Les Russes ne se serrent jamais la main ni ne s'embrassent sur le pas d'une porte. Cela porterait malheur. Dans la tradition, le seuil est une frontière qui protège la maison des forces maléfiques venant de l'extérieur. Cette croyance existe aussi en Ukraine.
Les Russes ne se serrent jamais la main ni ne s'embrassent sur le pas d'une porte. Cela porterait malheur. Dans la tradition, le seuil est une frontière qui protège la maison des forces maléfiques venant de l'extérieur. Cette croyance existe aussi en Ukraine.
A quelqu'un qui lui demandait :
- Hodja, jusqu'à quand les hommes continueront-ils à naître et à mourir ?
Nasreddin répondit :
- Jusqu'à ce que le paradis et l'enfer soient remplis
- Hodja, jusqu'à quand les hommes continueront-ils à naître et à mourir ?
Nasreddin répondit :
- Jusqu'à ce que le paradis et l'enfer soient remplis
p.9.
LE SAIS-TU ?
Au Québec, « donner un bec » signifie « faire la bise ».
En français, « embrasser » signifie à l'origine « prendre dans les bras ». Ce n'est qu'au XIX siècle que ce verbe est devenu synonyme de « faire une bise » ! L'expression « embrasser Fanny » veut dire perdre à la pétanque sans marquer un seul point. Elle a été inventée au XXe siècle. Fanny était le nom donné un panneau de bois placé près du terrain de boules, panneau représentant une femme que les joueurs perdants devaient embrasser à la fin de la partie.
LE SAIS-TU ?
Au Québec, « donner un bec » signifie « faire la bise ».
En français, « embrasser » signifie à l'origine « prendre dans les bras ». Ce n'est qu'au XIX siècle que ce verbe est devenu synonyme de « faire une bise » ! L'expression « embrasser Fanny » veut dire perdre à la pétanque sans marquer un seul point. Elle a été inventée au XXe siècle. Fanny était le nom donné un panneau de bois placé près du terrain de boules, panneau représentant une femme que les joueurs perdants devaient embrasser à la fin de la partie.
Il voudrait dire quelque chose , mais le mur est si haut...
et puis de l'autre côté, ils parlent une autre langue.
et puis de l'autre côté, ils parlent une autre langue.
Un voisin vint prévenir Nasreddin Hodja, qui n’était pas chez lui, que sa maison commençait à brûler.
Mon cher, répondit-il avec calme, chez moi, je m’occupe des affaires extérieures. Ma femme se charge de l’entretien de la maison. Va donc la prévenir, elle est chez sa mère.
Mon cher, répondit-il avec calme, chez moi, je m’occupe des affaires extérieures. Ma femme se charge de l’entretien de la maison. Va donc la prévenir, elle est chez sa mère.
Nasreddin, toi qui es versé dans les sciences et les mystères, dis-nous quel est le plus utile, du soleil ou de la lune.
- La lune, sans aucun doute. Elle éclaire quand il fait nuit, alors que ce stupide soleil luit quand il fait jour.
- La lune, sans aucun doute. Elle éclaire quand il fait nuit, alors que ce stupide soleil luit quand il fait jour.
Le lendemain, le garçon revient à la même heure. Il rajoute son nom et son âge sur le ballon. Il s'assure qu'il est seul... et renvoie le ballon, en espérant que la fille aux couettes sera là !
(...) On dit aussi que l’observation des animaux pourrait être à l’origine des premiers bisous d’amoureux. Les hommes auraient imité les oiseaux qui se frottent le bec lors de la saison des amours.
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