Après trois années passées au Japon, Laurence rentre en France le cœur empli de nostalgie mais avec l'homme de sa vie.
Un jour, un livre japonais de loisirs créatifs attire son attention : elle y redécouvre la finesse et la créativité nippones à travers la réalisation de petits gâteaux en feutrine !
C'est une révélation et elle commence à réaliser ses propres modèles : au début pour ses filles, puis très vite elle rencontre le succès sur les marchés de Provence, les foires et les salons.
De fil en aiguille, elle crée sa boutique Assobo, ce qui signifie " amusons-nous " en japonais (assobo.com).