En effet, il semblait bien qu’une révolution était en marche dans une belle union collective réunie au nom de la liberté d’expression. Certaines lettres criaient qu’elles ne voulaient plus des institutions mises en place depuis des millénaires. D’autres, plus virulentes, hurlaient que les langues, mortes ou vivantes devaient reprendre la main et avoir le dernier mot. (page 149)