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Critiques de Leon Garfield (8)
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Le Fantôme de l'apothicaire

Le résumé, par Thibaud, 10 ans : Benjamin Partridge travaille chez un apothicaire. À la suite d’une commande passée par un étrange personnage, il doit faire une livraison tard dans la nuit. À son arrivée, il se rend compte que ce client a pouvoir de vie et de mort sur les humains… Son avis : ce livre ne m'a pas emballé, mais il est très bien écrit.
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La Montre en or

Dès le début de ma lecture, j'ai eu le sentiment de lire du Charles Dickens peut-être que l'auteur Leon Garfield a voulu lui rendre hommage mais son style est pas mal le même. À part quelques répétitions : si elle aurait quinze centimètre de plus elle pourrait faire ceci et cela en parlant de Jubilé la sœur du jeune Nick. Quant à lui, il ne pense qu'à sa dot. bon pour les nombres il calcule déjà ce qu'il pourrait faire de la montre d'or. Les personnages de cette fable réussit à faire sourire un enfant qui ne connaît pas Dickens mais pour le reste je leur ferai lire Oliver Twist.
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Black jack

Plutôt irréaliste ce livre, où il est question d’un méchant qui échappe à la pendaison et d’une fillette qui n’est finalement pas aussi folle qu’on le croit. Tant pis, la plume de Léon Garfield reste agréable à lire, même si j’avais préféré son livre plus connu, Smith. Les gentils gagnent toujours, et ils trouvent même l’amour. C’est important quand on est un jeune lecteur, et cela met du baume au cœur quand on n’est plus tout à fait jeune !
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A l'enseigne du diable

Je suis tombé sur ce livre par hasard. Un hasard pas transcendant mais pas négatif. Ce texte est un "classique" de la littérature "gothique" accessible aux jeunes. La thématique de possession du diable est curieusement amenée avec des images fortes : bateau en bouteille, sel dans le berceau... Le motif diabolique est très présent dans le vocabulaire ce qui a tendance à rendre l'atmosphère étouffante. Quelques phrases bien tournées donne de la hauteur au propos. Ce qui ne m'a pas transporté c'est la lourdeur de la narration, souvent typique des textes un peu datés. Je ne regrette pas ce voyage aux frais du diable et non de la princesse, mais bon je relirai bien un Poe du coup.
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A l'enseigne du diable

Attention, vous croyez ouvrir un roman sur l'apprentissage d'un jeune serrurier dans l'Angletterre du XIXème siècle et en réalité vous pénétrez dans une véritable volière! Moineau, Friquet, Pic, Bernache... Pourquoi donc les personnages portent-ils presque tous un nom d'oiseau? Si cela peut se justifier d'appeler un serrurier "Rossignol" ou évoquer l'ardent désir de mer d'un adolescent par le patronyme de "Puffin", la raison pour les autres m'échappe; mais cela m'apparaîtra peut-être en une prochaine lecture...

Comme souvent chez Leon Garfield qui sait dépeindre tout en subtilité des caractères attachants, pittoresques et naviguer des uns aux autres avec maestria.

Déroutant au début par cette multiplicité de points de vue qui semble perdre l'intrigue, l'auteur renoue tous les fils à la fin de manière assez belle. Les non-dits comptent aussi beaucoup sur l'intelligence du lecteur, même jeune, pour reconstituer les faits. De par cette participation, ce livre se lit et se relit avec plaisir de l'enfance ( à partir de 9, 10 ans tout de même) à l'âge adulte. On redécouvre de nouveaux éléments à chaque fois, les symboles, très utilisés par Leon Garfield, donnent toute leur puissance dans ce récit où fantômes, diables, clés, navires et doubles dansent autour d'un malheureux garçon au début peu estimé par son entourage.

Le fantastique est léger et le surnaturel demeure incertain: malfaçon du bateau miniature, hallucinations dues à l'angoisse, la culpabilité ou l'alcool peuvent être des explications aux étranges évènements qui frappent Peter... Mais le doute est toujours permis...

Bref, une bonne distraction si vous aimez Dickens ou la littérature fantastique du XIXème siècle et si vous avez envie de meubler quelques heures de manière agréable ; )
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Le Fantôme de l'apothicaire

En ce soir de la Saint-sylveste, Benjamin partridge, l'apprenti de l'apothicaire Corbett, s'est mis en route pour livrer un médicament : cinq kilomètres à parcourir par une nuit sans lune, sur un chemin battu par les vents et, de plus, infesté de brigands... Il pense à la chaleur de son foyer et souhaite, du fond de son âme, la mort de ce gredin de Corbett. Attention, jeune Partridge ! Et si votre imprudent souhait se réalisait ?
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Le printemps des dieux

Une bonne lecture pour découvrir la mythologie grecque. Des histoires romancées mais il n'est pas uniquement adressé à la jeunesse.
Lien : https://athenashobbies.wordp..
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Le printemps des dieux

Je l' ai bien aimé car il parle de mythes et de légendes.
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