Ça, c'est bien vous, la jeunesse d'aujourd'hui. À part le corps, vous ne voyez rien. De notre temps, ce n'était pas comme ça. Plus j'étais amoureux, plus elle devenait pour moi éthérée. À présent, vous voyez les jambes, les chevilles, et encore d'autres choses, vous déshabillez les femmes dont vous etes amoureux; pour moi, comme disait Alphonse Kart - c'était un bon écrivain - l'objet de mon amour était toujours vêtu de bronze. Loin de déshabiller, nous nous efforcions de couvrir la nudité, comme le bon fils de Noé. Mais tant pis, vous ne comprendrez pas....