« Ah ! si j’avais pu y vivre, je n’aurais rien désiré de plus, pensait Rostow… rien !
Je sens en moi tant d’éléments de bonheur, en moi et en ce beau soleil… tandis qu’ici… des cris de souffrance… la peur… la confusion… la hâte… on crie de nouveau, tous reculent et me voilà courant avec eux… et la voilà, la voilà, la mort, au-dessus de moi !…
Une seconde encore, et peut-être ne verrai-je plus jamais ni ce soleil, ni ces eaux, ni ces montagnes !… »